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$7me mé*— w(HM (-4S=Pages) § runtimes — MUfö W SATIN — »Tcul'mcs (-*Sfe Pages) ttninislralear•Déléraé -Gérut O. RAN DO LET S^^tdn. lapssioBS stiasiicea. TIL. 10.47 tt, Rue Fontenelle, 36 MfCSSSTélêeraphique : HA2TD0LET Har» Le Petit Havre V> -M 13 JnillflJ9I7 RfiDACTBUR EN CHBE W. CASPAR - JORDAN Télépboae t SeorétalreGénéral ; TE VALLfl Rédactlon,35,rue Fonteneile- Tél.7M ANNONCES AU HAVRE..... Bureau du Journal, 112,tjo»t<de Straeoourg. JL'AGENCE HAVAS,8, tiiace <L,la Bourse, est seule chargée de recevoir les Annonces pour le Journal. it PETITHAYREestdèslgnèfour lit Annonce » Jsiilclelrtt it tigatu ORGANE RÉPUBLICAIN Le plus fort Tirage des Journaux de la DÉMOCRATIQUE Réglon ABONNEMENTS Thois Mois Six Mois 4 50 9 Fr. o Fr. ZZ BSO zo > so Fr Da AM 9t. ass > to REFLEXIONS Bur LAGUERREETLAPAIX VIII Apr 'es avoir exposé les declarations de principe de nos principaux allies , la Bas sic, les Etats-Unis, l' Angleterre et l' Italië, il ne nous reste plus qu'a rappeler le point de vue de notre gou¬ vernement pour étublir cette unité d' esprit qui s'est faite aut.our du pré¬ sident Wilson a l'occasion de la note du gouvernement de Petrograde sur les buts de guerre. Dans sa réponse a la Rnssie, publiée le ia juin, notre gouvernement s'ex- prime ainsi :. « Le gouvernement de la République fran- faise, toujours confiant dans les sentiments de son ancienne ei üdèle alliée, est heureux de se sentir en pleine communauté d'idées avec le gouvernement et le peuple russes, jen ce qui concerne les principes dont n'a cessé de s'inspirer sa politique au cours du présent conflit. « La France ne songe a opyrirrrer aucun peuple, ni aucune nationality, même celle de ses ennemis d'aujourd' hui. Mais elle en tend que l'oppression quia si longtemps pesé sur le monde soit enfin détruite el que solent elicitiés les auteurs des crimes qui demeure- ronl pour nos ennemis la honte de .cette guerre. « Laissant a ses ennemis 1'esprit de con- quête et de convoitise dont its s'inspirent dans la paix enmrne dans la guerre, la Fran¬ ce ne prétendra jamais arracher un terri- toire a ses légitimes possessenrs. « Repoussée dans tous les efforts qu'elle a faits pour maintenir la paix, forcée de ré- pondre par les armes a la plus injuste des agressions , elle n'est entree en guerre qué pour défendre sa liberté et son patrimoine national et pour assurer désormais dans le monde le respect de 1'indépetulance des peuples . . . » Que ce soit pour conquêrir on rêcouvrer leur independence nationale, pour affirmer leur droit au respect d'une ancienne civili¬ sation, ou pour secouer cette tyrannic ger- manique prompte a peser si lourdement sur les peuples moins avancés dans les voies du progrès, la France ne voit la fin de la guerre que par le triomphe du droit et de la justice. . .» *** L' honor able Al. Ribot a en maintes fois l'occasion de préciser la pensée du gouvernement soU uyanc , soit apres ia publication de cette note; il l a fait d'une manière d'autant plas heureuse et avec d'autant plus d' autorité que, nouvellement revenu a la prèsidence du Conscil, il n'hcsitapas a faire com- prendre qu'il ne se sentait nullement solidaire de Vancien gouvernement du tzar. Comme un dèputé socialiste lui reprochait, a la séance du 23 mai, de n'avoir pas protestë qtiand Vancien gouvernement russe disait le contraire du gouvernement actuel au sujet des conquêtes, il coupa court a Vincident en se retranchant simplement derrière sa propre declaration ministérielle de mars dernier : « Qu'avons-nous dit nous-mêmes ? La Cliambre a entendu la déclaration qu'au nom du gouvernement j'ai lue le jour oil nous sommes arrivés sur ces bancs, j'ai dit : Nous contitiuerons la lutle non dans un es¬ prit de conquête et de domination, comme nos ennemis, mais avec la ferme volonté de reprendre cc qui nous appartient. Voila ce que j'ai dit; la Cliambre a bien voulu applau- iiir nies paroles; je n'ai qu'ci les répéter taujourd' hui Je n'ai pas changé, nous 11'avons vien a retrancher a ces déclarations ni a vjouler ». * Déja le 5 mai, a la réunion du g Parlement interalliés », Al. Ribot avait pris position en face de la ques¬ tion soulevée par la Russie et, devan- fant les déclarations de Al. Wilson sur le statu quo ante bellum, disait : « Certes nous voulons la paix autant que personne ; mais nous ne voulons pas d'une paix qui laisserait posés devant nous les problcmes d'oü cette guerre est sortie et que cette guerre doit résoudre. » Mais c'est a cette séance de la Cliambre que nous rap¬ pel ions lout a l'heure qu'il développa surtout sa pensée a propos de la for¬ mule ni annexions ni indemnités : <tVous accumuleren tous les sophismes, ■disaitil, mais cette formule vous manquera, elle ne tiendra pas dans vos mains au jour du reglement final, lorsqu'on viendra s'op- poser a des restitutions qui ne soril pas des annexions dans le sens oil la démocratie l' entend, qui ne sont pas fondées sur la vio¬ lence, mais uniquement sur le droit et la justice, et quand nous fefons le compte des ravages épouvantables que la guerre, la barbarie de nos ennemis a infliges au pays, nous montrerons nos provinces dévastées non pas dans un intérët militaire mais uni¬ quement par la barbarie de ceux qui parlent de civilisation et ne savent pas ce que c'est... « Parlera-t on de paix sans indemnité ?... Ce n'est pas une indemnité, une contribution de guerre qu'on inflige comme une amende a un pays vaincu. C'est simplement une reparation, c'est la justice en oeuvre, et il faut qu'ily ait une justice dans le monde, non pas seulement pour réprimer les écarts individuels, mais aussi pour ramener les peuples au respect du droit : et toutes les violations du droit seront,dans la mesure du possible, réprimées au nom de Ihumanité tout entière .... « 11y a quelqiies jours, continue M. Ribot. rappelant la réunion du 5 mai citée jplus haut, j'avais l'occasion de parler a des Tnembres de Parlements allies. Je disais : te La France ne veut opprimer aucune na- tlonalité, même celle de ses ennemis. Elle réclame la liberté pour tout le monde et Tindépendance pour tous les peuples. Elle Cippellein a son aide, le jour de la vicloire, Honpas la vengeance mais la justice. » « Je n'at qu'il le répéter, et je puis, sans rien abandonner de ces déclarations répon- dre a l'invitation qu'on m'adresse de nous entendre, de voir dans quels termes nous pou- vons espérer un accord complet sur les fins de cette terrible guerre Cest le même esprit qui anime les deux grandes démo- craties : ce qu'elles veulent, au fond, c'est une paix durable, c'est la fin de ce cauche- mar qui a pesé sur le monde trop longtemps. Or, une paix durable, nous ne l'aurons que si nous la fondons sur la justice'" et sur le droit des peuples ; et nous ne l'aurons qu'd, une autre condition qu'il ne faut pas oublier, c'est que nous ne laisserons pas, dans son insolence et dans sa menace persistante, dnrer ce despotisme militaire qui a été la plaie du monde et qui, demain , pourrait dé- truire cette paix édifiée par nous avec tant de peine, cette paix équitable que nous vou¬ lons tous. La menace serait toujours la. « Si le peuple allemand, a qui nous ne contestons pas son développement dans l'ave ■ nir — tous les peuples ont le droit de vivre — si le peuple allemand comprenait cela, la paix serait plus facile. « Voila ca qui se dit a Washington, dans le langage éloquent du président Wilson ; voila ce que les échos de Retrograde re¬ petent et voila ce qui est dans Lecceur de la démocratie franpaise. » **# Ces explications, M. Ribot les a re- nouvelées, avec un succes égal, au coiirs des jameuses séances de la Cliam¬ bre et du Sénat, des 5 et 6 juin sur lesquelles nous aurons a revenir ; de¬ vant le Sénat qui, dans son ordre du jour, réclumait dts garanties sans préciser, comme la Chambre, qu'il les attendait d'une organisation de la so- ciété des nations, le président du Con- seil tint, a couper court aux malenten- dus et a donner une adhesion solen- nelle aux propositions de Al. Wilson : » Ces garanties oil les Irouver ? Est-ce dans des acquisitions de territoires ? Je ne le crois pas. Est-ce dans des occupations temporal res, dans des neutralisations ? Tout cela peut étre examine . on l'examinera lorsque le moment sera venu. Mais pour moi et puur la Chambre des députes,je le dirai trés haut ici comme je l'ai dit la, la meilleure garan¬ tie sera dans la constitution d'une Europa oil toutes les nations s apparliennent a elles- mêmes, oh il ne dépende pas de la volonté dun seul homme de déchainer de pareils maux sur l humanilé tout entière. » Cela ne dépend pas de nous, dira t on ; il ne siiffit pas que nous soyons d accord, il Jaut que les Ailemands aussi y comentent. Mais je crois a la puissance des idéés, a la puissance- de la justice. Je crois a cette con¬ tagion salutaire des idéés iustes et nobles. (JU(lfl(l 6116SOlXl eic icificecscCuilhce r/iunae, » Le moment est proche, je crois, oh tous ceux qui se sont serré la mam dans cette lutte, qui auront poursuivi cette guerre jus- quau bout, éprouveront le besoin de ne pas se séparer au tendemain de la vicfoire et oil la ligue des nations aujourdhui en armes pourra étre une ligue de paix , (l condition que toutes les nations qui y entreront soient animées du même esprit de justice et de li¬ berté que la France a eu, pour sa part, I hon neur d'introdaire dans le monde par notre immortelle Revolution. Si cela ne se fait pas demain, cela se fera après demain, c est iavenir de ihumanité, ou alors ilfaudrait désespérer de Iavenir du monde et da pro¬ grès. a Lorsque le président Wilson a exprimé cette idéé en des termes d'une haute noblesse nousy avons répondu comme il convenait en disanl : (1Sur ce terrain-la nous nous enten- drons, nous vous assisterons », C'est la iave¬ nir, le Sénat doit le comprendre comme la Chambre I'a compris elle même. » Tout rfcp.mment encore M. Ribot a tenu a affirmer sa Joi dans la puissan¬ ce des idéés justes et nobles et a Jaire cr édit, a ce point de vue , même a nos ennemis, et cela en s'associant a la déclaration faile en ces termes le 29 jinn a Glasgow, par le premier mi- nistre anglais M. Lloyd George : « La meilleure garantie de cette paix sera la démocralisalion du gouvernement de l'Al- lemagne. Personne ne veut dieter aux Aile¬ mands la forme a venir de leur gouverne¬ ment, mais nous aurons dans nos négocia- tions avec line Allemagne démocratisée une attitude fort dijférente de celle que nous observerions avec une Allemagne dominéé par l' esprit agressif et ai rogant du milita¬ risme prussien. Les guuvernements allies feront bien de faire ressortir cette distinc¬ tion. » Or, M. Ribot a, en effet, profitè de la première occasion qui lui a été offerte pour répondre a cette invita¬ tion courtoise ; le tj juillet, au milieu même des Jêtes du Jour de l'lndépen- dance, célèbrê cette année avec une solennité unique dans l'Histoire, il pro- nonga, 011 lesait, ces mots mémorables ; « M. Lloyd George rêpétait hier ce qu'a dit le président Wilson et ceque j'ai dit moi- même a la tribune de la Chambre des dépu- tés : La paix serait singulièrement plus fa cile a conclare si, an lieu de l' empereur d' Allemagne, nous avions devant. nous les représentant s d'une démocratie fondée sur les principes dn droit moderne. Voila ce qu'il faut dire trés haut, jusqu'il ce que nous soyons entendus de uos ennemis eux-mêmes.» *** Dira-t-on encore qu'il n'y a la qu' illusion dangereuse ou même ma¬ noeuvre dangereuse ?... Pour nous, qui avons toujours de- mandé que l'on fasse les distinctions nécessaires, nous nous rappelons, après avoir passé en revue les professions de joi des Alliés, la parole prophétique de notre bon vieux maitre Edgar Quinet : « Tous les peuples sentent qu'il s'agit ici de leur cause, puisqu'il s'agit de justice, de vérité. C'est un gage de victoire d' avoir pour soi l'ad- hésion de tous les peuples. et même, en secret, celle de nos ennemis ». CAsuivre). * LA Communiqués Officlels l,OÏ8' Jonraée FRANCE Paris, 12 juillet, 14 beures. Lutte d'artillerie assez vine en Champagne et sur le front de l'Aisne, dans le secteur du moulin de Laffaux. Des attaques ennemies au Sud de Juvin- court ont éié aisêment repoussAes. Sur I s deux nves de la Meuse, dans le sec¬ teur de la cote 304 et au Nord de l'ouvrage de Hardaumont, après un violent bambardement, les Allemands ont tente plusieurs coups do main, dont aucun n'a réussi. Rien a signaler sur le reste du front. 23 heures. Journëe calme, sauf dans la région d'A illes, Panthéon et Moronvilliers oh l'ariillerie s'est montrèe de part et a'autre assez active. x L'ennemi a lancé une centaine d'obus sur Reims. GRANDE'-BRET AGNE 12 juillet, 14 heures Une tentative de raid effectuée par l'ennemi la nuit dernière au Sud de Lombaerizyde a en- tièrement échoue Aucm autre événement h signaler. AVIATION Londres,IS juillet. (Offlcielle) Cinq de nos escadrilles ont attaqué, au Sud- Ouest de Nieuport, une escadrille allemande composée de dix albatros et de trois grands bipl aces. Elles en ont obligé trois h descendre désem- parés ; deux autres ont do atterrir. Un aéroplane britannique manque. BELGlQUE 19juillet. Pendant la nuit, un détachement envoyé vers la route de Dixmude k Woumen a rencontré un parti ennemi et l'a attaqué. Un violent corps- k corps a suivi au cours duquel les Allemands ont subi des perte s sérieuses et latssé trois prisonniers antra nos mains. Au cours de la journée, quelaues lirs ds dis¬ persion sur nos tranchées et nos vojes de com¬ munication, principalement vers Dixmude. Nous avons contrebattu les batteries adverses. Léger bombardement dans la région d'Het- sas. RUSSIE PélrogrBde, 12 juillet. Front Occidental Sur le Dnisster et la Lomnitza, no¬ tre cfT«nsive a continue hier. Après un combat sanglant, l'ennemi fat chas- sé de Ksdusz qui fut occupé par nos troupes. Sur les autres fronts, aucun changement. (K»lusz se trouve a environ 30 kikunètres au Suit-Ouestde Halicz.a pen pres è égale distance sur la voie ferrée entre Stanislau et Dolina.) DANS LES BALKANS FRANCE Salonlque, II Juillet. L'uviation britannique a bombardé la station Dangista, k trento kilomètres k l'Est de Serós. Combats de patrouilles et canonnade sur front du Vardar. Le capitaine allemand et le pilote qui mon- taient l'appareil ennemi capturé hier ont été faits prisonniers, LE PARLEMENT Impressions de Séance IBS KOTliB COKBBSFONDANT PARTICULIER, - Paris, 12 juillet. •A. LA CHAMBRE Ou reprend k la Ch«mbre, dès le débat de la seance, la discussion du projet sur les Inropo, rtn aait «nu la nlnjnart onti/»iaa ont éte votes dans one seance prëcede -te. Seuls rostent ü disculer les artic es 27, 28 et 29 qui concernent les dispositions iinanciè- res. M. Puech, dépnté de Ia 3« circoascription de Paris, en demanse la di jonction. II esti- me qu'il ya une telle difference entre le teste du Senat et celui de la Chambre qa'ii est mamteste que les deus Assemblees ne pourront se mettre d'eccord. L'orateur parle dans uae salie k peu prés vide. II combat Partiele 27 qui autorise les avances par le Crédit foucier et en démon- tre les dangers II rappel !e que la charge de3 anunités dues au Crédit foncier sera snp- portée par i'Etat poar les propriétaires iV'ayint pas plus de 6.000 fr. de revenu. M. L»rolie, hostile a la di-j®sjcsioo, met en garde ia Chambre centre le defacement de la petite propriété, peu pro égée, au profit des grandes Sociétés immobiliè<es. M. Viviani fai: observer que s'il insiste au nom da gouvernement pour la di»jo»ction, ce n'est pas paree qu'il est opposé è i'indem- nitéqo'iia toujours soutenue mais, paree que le temp? presse et qu'il importe de fiser une situation qui a trop duré. Plusieurs oratenrs com battent la disjoac- tion que M. Abel accepte eu nom de la Com¬ mission du budget sous réserve qn'une Commission interparlementaire sera insti- tuéé po.nr éLborer un projet financier spé¬ cial susceptible de railier les deux Assem blees. La China bre vote Ia disjonction par 300 voix coritre 100 La Chimb- e sdoote easuite Partiele 28 relaiil aux remises d'impöts en favenr des propriétaires qui auront subi des reductions de loyers. L'article 29 accorde an propriétaire privé d'une part de son revenu des dalais pour ie paiement des dattes hypothécaires. La Chambre, p^' 367 roix contre 133, re¬ pousse un amendp«»»-ni, comba tu par Ie gouvernement et hCoratnission, prorogeant jusqn'è Ia fin des hostibtés les duties hypo¬ thec urea. L'article 29 est adopié. sans modi- ficiiion, après que'ques explications sur le vote. L'ensemble de la lol est adopté par 391 vois cootie 87. La Chambre règl* ensuite son ordre dn jour. La seroaine prochaine, on examinera le projet portant suppression des contribu¬ tions, des patente?, persounelle-m' b.lière, portes et tenêtres et leur remplacement par une imposition sur plusieurs catégoties de reveuus. Deux jours seront consacrés a ia ioi des pensions. Demain, interpellations. -A.XJ SENAT M. Régismauset, vice-president, prononce l'éloge funèbre de M. Vucherie, sénateur de la Haute-Vienne. Le Sénat, après diverse? obsecrations, vote la declaration d'utidté pubbque des travaux d'amé mration de la Seine dans la traversée de Paris. Le Sénat adopte également nn projet rela- tit anx taux des pensions des mili aires et marins atteints de cécité ou ainputés tie deux membres. Le Senat s'ajourne é jeudi prochiin. Th. Henbt. A LA CHAMBRE L'ordredu jour et lea vaoaaaes voter avant la separation des Chambres Ia fin de la loides loyers, i'impót cédolaire sur Ie revenu, reto ir du Sénat, et la loi sur les pupillesde la nation. Eii dehors de cette conférence, on s'occupe d~ la separation des Chambres. On met en avant la date du S aoüt pour permettre anx dsnx Chambres de se mettre d'accord défi— nitivement sur Pimpdi cédulaire du revenu, de fapon k évitor d'avoir k voter k nouveau les quaire contributions directes pour 1918. merem BELLE MANOEUVRE Paris, 12 juillet. I,e cap' tain e au long cours Schools, com¬ mandant le steamer Caravellas, de la Com¬ pagnie des Chargeors-Reanis, a repa le 9 jail lot un iémo.ignage de satisfaction pour l'hahileté avec laqneile il sat maeoeuvrer son battmeat et éviter l'attaque d'un sous- marin. L'ACTION BESPATROUILLEÜRS Paris, 12juillet. Un navire en déiresse a été secouru le i«juiilet dans I'Atlantique. Ce grand Mti- meut, torpillé par nn sous-raarin, avail étre évaen-' par son éqnipagi et menapait de sombrer. Cependaat, ae 'petit? patrouiHeurs d'escorte ré cumrent a la prendre en remor- qi e et 4 le cocdutre en lien tür. L# 6 juillet, nn vapeur qui s'échoua prés de rile d'Yeu poor échapper 4 nn sous-ma- rin put étre r-»nfloné et ramené an port. Le mème jour, dans les mêmes parages, un autre vapeur précédent roem coastdéré com¬ me perdu put étre déséchoué et conduit dans un port. La conférence des presidents des grandes commissions et des groupes parieruentai- res, sous la prèsidence ae M. Paul Dus . chanel, a décide jeudi do i' nc- • - j Chambre de sieger tons les je 'e tnndi prochain jusqu'au im Chuisi p.ur ies vayawces Alf. <i a\ L'action aérieune Paris, 12 juillet. Les hydravions de patrouille des divers centres deviation maritime oat effecuié au tool's de mai par tous les temps 2 627 vo's d'uae darée r yenae d'une heme trois quarts. Us attaq èrent quatorze fois des sous-taarins, et dècouvrirent 4 trois repri¬ ses des champs d« mines. Un eroisaur ennemi fat combatta ; huit bombardemenis de aait sur les bases enno- mies en Belgiqne et en Adriatique furent effectués. Trots combats aérians ont eté livrés au ronrs de^uels deux appireüs en¬ nemis turen détruits. En cguelques Mots — M. D.-H. Illingwortb, directeur de Ia Croix- Rou«u-francaise a Londres, exprime le vceu que h 14juillet soit ta « Journée do la France » en Angleterre. — M. Balf>ura déclaré aux Communes que des cégoc.ationa sont • n cours entre l'Jtalie et la Grèce en vue de I'évacuation des parties occu- pées de'l'Epire. — Les ouvriers dn Pirée sont venus protester de leur fidélité a M Venizolos, qui les a remer- ciés en un discours admirable. - — Ua nouvel incident s'étaot produit au tera- Ple de NeuehAiel, oü M. Weingirtaer, chef de orchestic phiibarmonique da Vienne, donnait un c .neert, le Conseil d'itiat de Genève, afin d'eviterle retour de ces manifestations, a décidé d'engager M. Weingarlaer a ne plus donner de concert, comme il en avait manifesté l'inten- tion. — Mercredi matin, 262 prisonniers de guerre franqais. vrnant d'AIletnagne.sont arrivés a Lau¬ sanne. lis st ront hospitalises dans plusieurs sta¬ tions ciimaiériques. — Les convois d'évacués civiis des départe- ments envahis seront suspendus du 14au 3djuil¬ let. — Dans la circoascriplion de East Ciare Han¬ del, Si. de V«ie.*a, candidat sinn-fein. a été étu pa' ,t te Milïragescontre 2,033a M.Lynch, natio¬ nalists. f e fils Bdoptif te Gork'. le lieutenant Piesch- kof, sera attache - l'é'at major de M Kerensky. — L'aceiea ministro ie 1»cour de Russie, com- te Fredi-rik»,sera vernisen liberté SOUSCSUtiOH, ec ratsop tte soa tstat de sar té, Le Havre, la Seine-Ioférieure, l'Eure, l'Oiae et la Somme Autres Département! Union Postale J impériale du li décembre n'a pas été prisu en considaration paree qu'elle était faite pap Ie parti de la guerre ; une déclaration du Rtfchstag, émanafiou dn peuple allemand, une démocratisation drs institutions seraient au contraire, seloit M. Erzberger et sou parti. de nature 4 amener une paix de con¬ ciliation. L'ioslitotion d'un ministère parlementai¬ re et du stiff age univsrsel b auchirait i'Alle- magne et lui ferait figure présentable pour sa rentrée dans la « Sociaté de3 nations », Tel serait le dernier plan da ceux qp.i ne croient plus au système Hindeobarg-Tirpitz. La Gaz tie populaire de Cohgne reprend 4 sou propre compte le? objections sonievéez dans les milieux cathofiques rhénans pap ['attitude d'oppotition de M. Erzb»rger. Ce journal espére que le parti de M. Erzbsrger désavoaara son iuitiative. La Germania, au contraire, confirme que tout le parti du centre, 4 i'excepsinn de quelqoes députés, a décidé d'adopter le point de vne de M. Erzberger et de sontenir ses demar.dcs de réforme éiectorale en Prnsse et o'un ministère parlementaire da coalition au Reichstag. Lesuccesallemand danslarégiondesDunes Au sujet du succès allemand dans Ia région des Dunes, te colonel Repington écrit dans le Tunes: La guerre est une affaire de surprise, et dans une guerre dn genre de la gserre ac- tuelle, 11ne faut pas prendre trop au tragi- que an petit snccès de l'ennemi. Nous n'a- vions remplacé les Fra-cais dans la région des Dunes, au nord de Nieuport, qu'4 une date récente et dos hommes forcément étaient moins familiarises avec les caractéris- tiques de ce secteur qu'avec celles des see- teurs qn'ils ont longtemps occnpés. En temps o-dinaire, le sectenr des Dunes est ass6zfacile a tenir. Mais mardijderuier, une violente bonrranque souffliit sur la mer et il faut suppuset' que l'appui naval était pour le moment absent. N03 troapes défsndant le secteur des Danes se troavèreot done livrées a leur propres ressoarces lersque l'ennemi, après un bambvrdement de vingt qnatre h8ures, non seulement beuieversa les tra¬ vaux de dtfense, mais rompit les ponts sur l'Yrer et probablemertt aussi sur ie ruisseau de Lotnbaerlzyde. Naus avons toujours re- coann qu'une armee qui fait les préparitifs nécessaires peut s'eajparer pour un instant ds n'importe quel système de tranchées avancé«s. L'ennemi, en lace de nous, sur la cöle beige, était dans one position particabère- ment favorable pour exécater un coup de main de cette nature, a canso de ia puis¬ sance formidable de ses batteries cö ières. Ces batteries s'étendent tout le long des du¬ nes et il est facile de les concentrer sur no¬ tre secteur des Dunes ou sur tout autre ob- jectif ea peu de temps L'échac de Beneemi, plus au Sud, vers Lombaerizyde, airès un succès préliminaire, semble montrer qua l'incident est de peu d'importance. Un détachement allemand si- tué entre froopas britanniques au Sud et I* mer, t Nord, n'est sürement pas dsns nne position trés enviable. Depci* qaelque temps, l'ennemi se moatraitinqaietaa sujet da tcont de i'Yser. II avait fréqusmment proclamé dans la presse allemande notre intention d'attaqeer en ce point ; il était done naturel qu'il cher- chai 4 s'assurer de plus prés de ce qne fai- saient nos troupes, da s'emparer de ia rive droite da 1Yser prés de soa embouchure, si c'étiit possible. Le Daily Chronicleécrit : POirla première tois depuls Ie commen¬ cement de l'année, les Allemands ont lancé contre notre front one offensive locale quia abouti 4 un succès partiel. Ce revers, qot est lranchement avoué par sir Douglas Haig, est de peu d'importance, mais il est lacheux. LACniCi: EN ALLEIYIACSilL Danx faits nonveanx suryenus depetis mardi attestent la gravité das préoccapa- tions de Guillauras II. Par resc-it royal i! adhère 4 Ia réforme electorale poor la Presse « sor la base du droit do vote cgü » aboiis- sant ainsi le système que Bismarck lui- même d' ft tissait « le plus miserable systè¬ me éfecloral qru existe au monde ». C'est un des piliers de i'autorité politique et sociale de ta noblesse prussienno que Ie roi laisse abstlre. Cela dit beaucoap. Autre signe des temps : Guillaume II a mandé dn front ie kronprinz pour qu'il as- siste aux coaseils de la courtinne les ré- formes et sans nul doate aussi les dernières décisions sur la guerre et la paix doivent être arrètées. L'empereur veut associar ie prince impérial 4 ces chsngements que l'on s'tfforce de présenter comme une ère nou¬ velle; il eUime qa'il est urgent de ramener la popularité sur la personne d'nn prince qui s'était en toate occasion compromis par une sorte ds bravade avec !es hommes de fa ré c iO" "t du militarisme, dsptsis les ofli- cürs de Saverne jusqu'aux Deïmliag et aux Tirpilz En rebaptisant le prince hérhiar, selon Ie mot cclèbre « avec une goutte d'hnile démo- cratique », l'emper«ur-roi dscele le sonci in- time que lui cause non seu emeat l'avesir de i'édifice imperial, mais ceini de sa dy¬ nastie. E 1 préseBce de cette situation, dont il ne faut ni ex-gérer ni dimiauer la gravité, ie Reichstag est arrivé 4 arrêter une ligae de conduite et semble résolu 4 y parsévérer. Mercredi il a ajaurné, matgré les instances du gouvernemeat, le vote des nouveanx crédits de guerre jurqu'4 ce que le pouvoir ait fait conaai'.re ses décisiens snr les réfor- rnes. Le vete a repai les nationaox Iibé- ranx, les progressistes et radicanx.les sacia- listes olficiels et le centre contre tes seuls coaservateurs. C'est ainsi q»e se dessine la considerable majorité rél'ormiste. Le ki'oaprlczmandéa Berlin A la saite du Conseil de la couronne qui s'est tenu landi, l'empereur a eu, mardl, avec ie cbancelier, un entretien qui a duré plusieurs heures. Sur l'ordre de l'empereur, le prince héri- ter a été appele 4 Berlin, il est arrivé mercredi matin, pour discuter des décisions qua l'empereur comp:e prendre. O i a appris dan3 l'apres-midi, au Reich¬ stag, qn'un couvean Conseil de la coHronne avait eu lieu 4 midi, au palais du chancelier, en présence du kronprinz. De nouveaux pourparlers entre les frac¬ tions ont eu lien aussi. Une communication offlcielle pnbliée 4 Berlin merciedi après-midi a fait connaiire qne l'emperenr a exprimé, an sujet des ré- formes po iiiques d'-maudées par le Reichs¬ tag, ('opinion que ces rélormes ont nn ca- ractère tel qu'elles ne corcernent pas seule¬ ment lui, mais encore son succetseur. E les portent effectiveroent sur l'avenir et leurs consequences doivent être permanentes. C'est poor ce motif que l'empereur a mandé le kronprinz, pour qu'il assistat 4 nne ou plusieurs seances du conseil de la couronne oü seront prises fes decisions definitives et oü seront fixées les hmues des concessions que la couronne et le gouvernement accop- teroat de faire au Reichstag. La Manoeuvre Erzberger Un important article de la Germania laisse voir qua tes deux di cours a sensation pro- noi.ci s p r M. Erzberger dans la Commis¬ sion du Reichstag ont pour objpetif princi¬ pal i'opinion étrangère, qu'il s'agit d'inciiner a la paix en lui mootrant one Allemagne qui répudie la guerre 4 outrauce, les an¬ nexions, le continuation d'une politique vio¬ lente et atittdetuecr&uuue. L'ttfre4e paix LuI?éiüi!S isirsos Convocation delaChambregrecque Oa annonce officiellemenf que Ia Chambre élue la 31 mai/13 juin 1913 ast couvoquéa poor Ie 23 juillet proclnin. La Chambrêqui vas'assemb'»r de nouveau a été élue sous la ministère Goanaris. Elle compranait pour la première fois les dépu¬ tés de3 nouvolies provinces annexées eu 1913 ; auasi compuit-elle 316 membres, au lieu de 184. Malgré la pressioa offlcielle, leg électeurs nommèrent une majonté venizs- liste : 4 la première séance de la Chambre, le 16 aoüt, le caod dat venizetistsZaviatianos était élu pré3ideat par 182 voix contre 93 au candidat goinariste et 7 au candidat da groupe Demetracopoulos. La S octobre, la Chumbre votait la guerre 4 la Bolgme, par 147 voix contre 102, mais le roi Coastantia aanulait anssilö; i'effet de ce vote en exi- geant la demission da cabinet Venizelos. Le 3 novembre, le cabinet Z .ïmis, auaqné par M. Venizelos, était reaversé par 147 voix contre 114. L9 llnovembre snfia, le cabinat Skouloudis publiait au Journal ofjiciel un decret qui dissoivait indüiaant la Chambre et qui fixait au 19 décembre les nouveliea elections. CWles-ci, en raison de la mobili¬ sation générale et de l'absteaiion en masse des vetiizjlistes, n'ont èiè qu'nn vain simu- lacre. La iégalite va maintouant se trouver rétiblie. . Les victimesdu guet-apens Les exiuimatiff£r?f;tNjffïïóiUiaue a pratt- quer en présence des autorités judiciaires dans les fosses communes du clmetière d'Athènes et qui ont déja fait découvrir deux cents cadavres, ont ameoé ia recon¬ naissance des corps öeeinqnante notftbilité# veniziliste. d'Athènes et du Pi.'ée, disparuez mysterieuseraent fors des iTOubif-sqoi suivi- rent le guet-apeos royaliate du lor decembre dernier. Arrestation imminente du généralB,epoulas On estime, dans les milieux renswgnés, que l'arresiation du général royalirte Repoa- las, réfugié dans ies montagnes a la suite de l'échec dé ses tentatives pour en rainer ses troupes contre Ie gouvernement libéral, est imminente. En l'iionneur de M. Tardieu La Société France-Amérjque de New- York a offert un déjeuner en l'honoeur de M. Tardieu, auquel ont assists MM. Btu- menkel, le doctear Cartel et Huwtck. LaMissiën beige aux Etats-Unis Discours dubaronMoncheur, au Sénat Le Sénst des Etsts-Unis a fait 4 la mission beige une réception enthousiaste ; 4 plu- siears reprises, le public des tribunes se leva peur applaudir. Le baron Moncheur fut présenté 4 l'as- sambléf! par le vies-président Marshall. Dans sa réponse au discours de bienvenue qui lui était adressé, ayant rappelé les cr.ielles éprenves de la Belgique, il s'exprima com¬ me suit : « Lu courage de mes compatrioles a été raffermi par ta sympathie qui partout, dans votre pays, s'esi manit»stée pour nos infor- tune*. L'Amérique a pris i'imtiative d ap- porter 4 notra population afftraée son gé- néreux secours, et tout en vous exprimant, du haut de cette tribune, ie sentiment de gratitude de fous les coears belgas, je tieng aussi 4 rendre un hommage particulier 4 l'admirable oeuvre de la « Commission for Relief in Belgium » qui a fait tant pour sau- ver notre people de la famine. « Oui. Messieurs, la sympathie de l'Am^ri- que raff rmit D03 cour ge< et tandis qua le roi Albert, qui, depnis le jour fatal oü notre pays fut violé, n'a cessé u'ètre avec ses soi- dats, poursuit la lutte avec nne indompta- ble énergie, 4 la tête de notre armée, accro- chée au dernier lambean qui nous reste de notre sol, tandis que ia reine, Cjtte digne compagne d'un grand souverain, déploie une ac ivité inc?ssante pour encouragsr et secoririr les victimes de ia bataiile, eulhoo- siasniant les coeurs par son mépr.s des dan¬ gers auxquelseiles'expose qnotidiennernent, de l'autre cóté du mur de Ier diessé par l'ennemi, le ueople beige vit courbé sous ie joug, insis 'les seductions dép'oyées par l'e'inenii, malgré sa loi tynmnique; rien ne l'óffaiblit, 'ui martyr, do t I? coursge est soutenu par notre grand cardinal Murcier, et il attend en silence dans l'union s tcrée de tons les partis, l'heure definitive de ia delivrance f « Cette heure, Messieurs, j'ai Ia conviction qu'elle sera liatée par le pmssant concours que nous p»êteut les Etats-Unis, et le jonr approcheoü la Belgique, restaurée dans son entière et par faite indépendance, 4 la fois politique 6t économique, pourra remercier comme it convient tous ceux q"i l'ont aidéA 4 se dégager des ténèbre? du lomberii poor réappar.hre 4 ia luru ére respiSBdisii'ire d'uneexistence nouvelle1

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MfCSSSTélêeraphique: HA2TD0LETHar» Le Petit HavreV>-M 13JnillflJ9I7

RfiDACTBUR EN CHBE

W. CASPAR - JORDANTélépboae t

SeorétalreGénéral; TE VALLflRédactlon,35, rue Fonteneile- Tél. 7M

ANNONCESAU HAVRE..... Bureau du Journal, 112,tjo»t<de Straeoourg.

JL'AGENCE HAVAS,8, tiiace <L, la Bourse, estseule chargée de recevoir les Annonces pourle Journal.

it PETITHAYREest dèslgnèfour lit Annonce» Jsiilclelrtt it tigatu

ORGANE RÉPUBLICAINLe plus fort Tirage des Journaux de la

DÉMOCRATIQUERéglon

ABONNEMENTS Thois Mois Six Mois

4 50 9 Fr.o Fr. ZZ BSOzo > so Fr

Da AM

Z ® 9t.ass >to

REFLEXIONSBur

LAGUERREETLAPAIXVIII

Apr 'es avoir exposé les declarationsde principe de nos principaux allies ,la Bas sic, les Etats-Unis, l' Angleterreet l' Italië, il ne nous reste plus qu'arappeler le point de vue de notre gou¬vernement pour étublir cette unitéd' esprit qui s'est faite aut.our du pré¬sident Wilson a l'occasion de la notedu gouvernement de Petrograde surles buts de guerre.Dans sa réponse a la Rnssie, publiéele ia juin, notre gouvernement s'ex-prime ainsi : .« Le gouvernement de la République fran-faise, toujours confiant dans les sentimentsde son ancienne ei üdèle alliée, est heureuxde se sentir en pleine communauté d'idéesavec le gouvernement et le peuple russes,jen ce qui concerne les principes dont n'acessé de s'inspirer sa politique au cours duprésent conflit.« La France ne songe a opyrirrrer aucunpeuple, ni aucune nationality, même cellede ses ennemis d'aujourd' hui. Mais elle entend que l'oppression quia si longtemps pesésur le monde soit enfin détruite el que solentelicitiés les auteurs des crimes qui demeure-ronl pour nos ennemis la honte de .cetteguerre.« Laissant a ses ennemis 1'esprit de con-quête et de convoitise dont its s'inspirentdans la paix enmrne dans la guerre, la Fran¬ce ne prétendra jamais arracher un terri-toire a ses légitimes possessenrs.« Repoussée dans tous les efforts qu'elle afaits pour maintenir la paix, forcée de ré-pondre par les armes a la plus injuste desagressions , elle n'est entree en guerre quépour défendre sa liberté et son patrimoinenational et pour assurer désormais dansle monde le respect de 1'indépetulance despeuples . . .» Que ce soit pour conquêrir on rêcouvrerleur independence nationale, pour affirmerleur droit au respect d'une ancienne civili¬sation, ou pour secouer cette tyrannic ger-manique prompte a peser si lourdement surles peuples moins avancés dans les voies duprogrès, la France ne voit la fin de laguerre que par le triomphe du droit et de lajustice. . .»

***L' honor able Al. Ribot a en maintesfois l'occasion de préciser la pensée dugouvernement soU uyanc , soit apres iapublication de cette note; il l a faitd'une manière d'autant plas heureuseet avec d'autant plus d' autorité que,nouvellement revenu a la prèsidencedu Conscil, il n'hcsitapas a faire com-prendre qu'il ne se sentait nullementsolidaire de Vancien gouvernement dutzar. Comme un dèputé socialiste luireprochait, a la séance du 23 mai, den'avoir pas protestë qtiand Vanciengouvernement russe disait le contrairedu gouvernement actuel au sujet desconquêtes, il coupa court a Vincidenten se retranchant simplement derrièresa propre declaration ministérielle demars dernier :« Qu'avons-nous dit nous-mêmes ? LaCliambre a entendu la déclaration qu'aunom du gouvernement j'ai lue le jour oilnous sommes arrivés sur ces bancs, j'ai dit :Nous contitiuerons la lutle non dans un es¬prit de conquête et de domination, commenos ennemis, mais avec la ferme volonté dereprendre cc qui nous appartient. Voila ceque j'ai dit; la Cliambre a bien voulu applau-iiir nies paroles; je n'ai qu'ci les répétertaujourd' hui Je n'ai pas changé, nous 11'avonsvien a retrancher a ces déclarations ni avjouler ». *Déja le 5 mai, a la réunion dug Parlement interalliés », Al. Ribotavait pris position en face de la ques¬tion soulevée par la Russie et, devan-fant les déclarations de Al. Wilsonsur le statu quo ante bellum, disait :« Certes nous voulons la paix autantque personne ; mais nous ne voulonspas d'une paix qui laisserait posésdevant nous les problcmes d'oü cetteguerre est sortie et que cette guerredoit résoudre. » Mais c'est a cetteséance de la Cliambre que nous rap¬pel ions lout a l'heure qu'il développasurtout sa pensée a propos de la for¬mule ni annexions ni indemnités :<tVous accumuleren tous les sophismes,■disaitil, mais cette formule vous manquera,elle ne tiendra pas dans vos mains au jourdu reglement final, lorsqu'on viendra s'op-poser a des restitutions qui ne soril pas desannexions dans le sens oil la démocratiel' entend, qui ne sont pas fondées sur la vio¬lence, mais uniquement sur le droit et lajustice, et quand nous fefons le compte desravages épouvantables que la guerre, labarbarie de nos ennemis a infliges au pays,nous montrerons nos provinces dévastéesnon pas dans un intérët militaire mais uni¬quement par la barbarie de ceux qui parlentde civilisation et ne savent pas ce que c'est...« Parlera-t on de paix sans indemnité ?...Ce n'est pas une indemnité, une contributionde guerre qu'on inflige comme une amendea un pays vaincu. C'est simplement unereparation, c'est la justice en oeuvre, et ilfaut qu'ily ait une justice dans le monde,non pas seulement pour réprimer les écartsindividuels, mais aussi pour ramener lespeuples au respect du droit : et toutes lesviolations du droit seront,dans la mesure dupossible, réprimées au nom de Ihumanitétout entière ....« 11 y a quelqiies jours, continue M.Ribot. rappelant la réunion du 5 mai citéejplus haut, j'avais l'occasion de parler a desTnembres de Parlements allies. Je disais :te La France ne veut opprimer aucune na-tlonalité, même celle de ses ennemis. Elleréclame la liberté pour tout le monde etTindépendance pour tous les peuples. ElleCippellein a son aide, le jour de la vicloire,Honpas la vengeance mais la justice. »

« Je n'at qu'il le répéter, et je puis, sansrien abandonner de ces déclarations répon-dre a l'invitation qu'on m'adresse de nousentendre, de voir dans quels termes nous pou-vons espérer un accord complet sur les finsde cette terrible guerre Cest le mêmeesprit qui anime les deux grandes démo-craties : ce qu'elles veulent, au fond, c'estune paix durable, c'est la fin de ce cauche-mar qui a pesé sur le monde trop longtemps.Or, une paix durable, nous ne l'aurons quesi nous la fondons sur la justice'" et sur ledroit des peuples ; et nous ne l'aurons qu'd,une autre condition qu'il ne faut pas oublier,c'est que nous ne laisserons pas, dans soninsolence et dans sa menace persistante,dnrer ce despotisme militaire qui a été laplaie du monde et qui, demain , pourrait dé-truire cette paix édifiée par nous avec tantde peine, cette paix équitable que nous vou¬lons tous. La menace serait toujours la.« Si le peuple allemand, a qui nous necontestons pas son développement dans l'ave ■nir — tous les peuples ont le droit de vivre— si le peuple allemand comprenait cela, lapaix serait plus facile.« Voila ca qui se dit a Washington, dansle langage éloquent du président Wilson ;voila ce que les échos de Retrograde re¬petent et voila ce qui est dans Lecceur de ladémocratie franpaise. »

**#Ces explications, M. Ribot les a re-nouvelées, avec un succes égal, aucoiirs des jameuses séances de la Cliam¬bre et du Sénat, des 5 et 6 juin surlesquelles nous aurons a revenir ; de¬vant le Sénat qui, dans son ordre dujour, réclumait dts garanties sanspréciser, comme la Chambre, qu'il lesattendait d'une organisation de la so-ciété des nations, le président du Con-seil tint, a couper court aux malenten-dus et a donner une adhesion solen-nelle aux propositions de Al. Wilson :»Ces garanties oil les Irouver ? Est-ce dansdes acquisitions de territoires ? Je ne le croispas. Est-ce dans des occupations temporalres, dans des neutralisations ? Tout celapeut étre examine . on l'examinera lorsquele moment sera venu. Mais pour moi et puurla Chambre des députes,je le dirai trés hautici comme je l'ai dit la, la meilleure garan¬tie sera dans la constitution d'une Europa oiltoutes les nations s apparliennent a elles-mêmes, oh il ne dépende pas de la volontédun seul homme de déchainer de pareilsmaux sur l humanilé tout entière.» Cela ne dépend pas de nous, dira t on ;il ne siiffit pas que nous soyons d accord, ilJaut que les Ailemands aussi y comentent.Mais je crois a la puissance des idéés, a lapuissance- de la justice. Je crois a cette con¬tagion salutaire des idéés iustes et nobles.(JU(lfl(l6116SOlXleic icificecs cCuilhce r/iunae,» Le moment est proche, je crois, oh tousceux qui se sont serré la mam dans cettelutte, qui auront poursuivi cette guerre jus-quau bout, éprouveront le besoin de ne passe séparer au tendemain de la vicfoire et oil laligue des nations aujourdhui en armespourra étre une ligue de paix , (l conditionque toutes les nations qui y entreront soientanimées du même esprit de justice et de li¬berté que la France a eu, pour sa part, I honneur d'introdaire dans le monde par notreimmortelle Revolution. Si cela ne se fait pasdemain, cela se fera après demain, c estiavenir de ihumanité, ou alors ilfaudraitdésespérer de Iavenir du monde et da pro¬grès.a Lorsque le président Wilson a exprimécette idéé en des termes d'une haute noblessenousy avons répondu comme il convenait endisanl : (1Sur ce terrain-la nous nous enten-drons, nous vous assisterons », C'est la iave¬nir, le Sénat doit le comprendre comme laChambre I'a compris elle même. »

Tout rfcp.mment encore M. Ribot atenu a affirmer sa Joi dans la puissan¬ce des idéés justes et nobles et a Jairecr édit, a ce point de vue , même a nosennemis, et cela en s'associant a ladéclaration faile en ces termes le 29jinn a Glasgow, par le premier mi-nistre anglais M. Lloyd George :« La meilleure garantie de cette paix serala démocralisalion du gouvernement de l'Al-lemagne. Personne ne veut dieter aux Aile¬mands la forme a venir de leur gouverne¬ment, mais nous aurons dans nos négocia-tions avec line Allemagne démocratisée uneattitude fort dijférente de celle que nousobserverions avec une Allemagne dominéépar l'esprit agressif et ai rogant du milita¬risme prussien. Les guuvernements alliesferont bien de faire ressortir cette distinc¬tion. »

Or, M. Ribot a, en effet, profitè dela première occasion qui lui a étéofferte pour répondre a cette invita¬tion courtoise ; le tj juillet, au milieumême des Jêtes du Jour de l'lndépen-dance, célèbrê cette année avec unesolennité unique dans l'Histoire, il pro-nonga, 011lesait, ces mots mémorables ;« M. Lloyd George rêpétait hier ce qu'adit le président Wilson et ceque j'ai dit moi-même a la tribune de la Chambre des dépu-tés : La paix serait singulièrement plus facile a conclare si, an lieu de l' empereurd' Allemagne, nous avions devant. nous lesreprésentant s d'une démocratie fondée surles principes dn droit moderne. Voila ce qu'ilfaut dire trés haut, jusqu'il ce que noussoyons entendus de uos ennemis eux-mêmes.»

***Dira-t-on encore qu'il n'y a laqu' illusion dangereuse ou même ma¬noeuvre dangereuse ? . . .Pour nous, qui avons toujours de-mandé que l'on fasse les distinctionsnécessaires, nous nous rappelons, aprèsavoir passé en revue les professions dejoi des Alliés, la parole prophétiquede notre bon vieux maitre EdgarQuinet : « Tous les peuples sententqu'il s'agit ici de leur cause, puisqu'ils'agit de justice, de vérité. C'est ungage de victoire d' avoir pour soi l'ad-hésion de tous les peuples. et même,en secret, celle de nos ennemis ».

CAsuivre).

* LACommuniquésOfficlels

l,OÏ8' Jonraée

FRANCE

Paris, 12 juillet, 14 beures.Lutte d'artillerie assez vine en Champagneet sur le front de l'Aisne, dans le secteur dumoulin de Laffaux.Des attaques ennemies au Sud de Juvin-court ont éié aisêment repoussAes.Sur I s deux nves de la Meuse, dans le sec¬teur de la cote 304 et au Nord de l'ouvrage deHardaumont, après un violent bambardement,les Allemands ont tente plusieurs coups domain, dont aucun n'a réussi.Rien a signaler sur le reste du front.

23 heures.Journëe calme, sauf dans la région d'A illes,Panthéon et Moronvilliers oh l'ariillerie s'estmontrèe de part et a'autre assezactive.x L'ennemi a lancé une centaine d'obus surReims.

GRANDE'-BRET AGNE

12 juillet, 14 heuresUne tentative de raid effectuée par l'ennemila nuit dernière au Sud de Lombaerizyde a en-tièrement échoueAucm autre événement h signaler.

AVIATIONLondres,IS juillet. (Offlcielle)

Cinq de nos escadrilles ont attaqué, au Sud-Ouest de Nieuport, une escadrille allemandecomposée de dix albatros et de trois grandsbipl aces.

Elles en ont obligé trois h descendre désem-parés ; deux autres ont do atterrir.Un aéroplane britannique manque.

BELGlQUE19juillet.

Pendant la nuit, un détachement envoyé versla route de Dixmude k Woumen a rencontréun parti ennemi et l'a attaqué. Un violentcorps- k corps a suivi au cours duquel lesAllemands ont subi des pertes sérieuses etlatssé trois prisonniers antra nos mains.Au cours de la journée, quelaues lirs ds dis¬persion sur nos tranchées et nos vojes de com¬munication, principalement vers Dixmude.Nous avons contrebattu les batteries adverses.Léger bombardement dans la région d'Het-sas.

RUSSIEPélrogrBde, 12 juillet.

Front OccidentalSur le Dnisster et la Lomnitza, no¬tre cfT«nsive a continue hier. Aprèsun combat sanglant, l'ennemi fat chas-sé de Ksdusz qui fut occupé par nostroupes.Sur les autres fronts, aucun changement.(K»lusz se trouve a environ 30kikunètres auSuit-Ouestde Halicz.a pen pres è égale distancesur la voie ferrée entre Stanislau et Dolina.)

DANS LES BALKANSFRANCE

Salonlque, II Juillet.L'uviation britannique a bombardé la stationDangista, k trento kilomètres k l'Est de Serós.Combats de patrouilles et canonnade sur lêfront du Vardar.Le capitaine allemand et le pilote qui mon-taient l'appareil ennemi capturé hier ont étéfaits prisonniers,

LE PARLEMENTImpressions de SéanceIBS KOTliBCOKBBSFONDANTPARTICULIER,

- Paris, 12 juillet.•A. LA CHAMBREOu reprend k la Ch«mbre, dès le débat dela seance, la discussion du projet sur lesInropo, rtn aait «nu la nlnjnart onti/»iaaont éte votes dans one seance prëcede -te.Seuls rostent ü disculer les artic es 27, 28 et29 qui concernent les dispositions iinanciè-res.M. Puech, dépnté de Ia 3« circoascriptionde Paris, en demanse la di jonction. II esti-me qu'il y a une telle difference entre leteste du Senat et celui de la Chambre qa'iiest mamteste que les deus Assemblees nepourront se mettre d'eccord.L'orateur parle dans uae salie k peu présvide. II combat Partiele 27 qui autorise lesavances par le Crédit foucier et en démon-tre les dangers II rappel !e que la charge de3anunités dues au Crédit foncier sera snp-portée par i'Etat poar les propriétairesiV'ayint pas plus de 6.000 fr. de revenu.M. L»rolie, hostile a la di-j®sjcsioo, met engarde ia Chambre centre le defacement dela petite propriété, peu pro égée, au profitdes grandes Sociétés immobiliè<es.M. Viviani fai: observer que s'il insiste aunom da gouvernement pour la di»jo»ction,ce n'est pas paree qu'il est opposé è i'indem-nitéqo'iia toujours soutenue mais, pareeque le temp? presse et qu'il importe de fiserune situation qui a trop duré.Plusieurs oratenrs com battent la disjoac-tion que M. Abel accepte eu nom de la Com¬mission du budget sous réserve qn'uneCommission interparlementaire sera insti-tuéé po.nr éLborer un projet financier spé¬cial susceptible de railier les deux Assemblees.La China bre vote Ia disjonction par 300voix coritre 100 La Chimb- e sdoote easuitePartiele 28 relaiil aux remises d'impöts enfavenr des propriétaires qui auront subi desreductions de loyers.L'article 29 accorde an propriétaire privéd'une part de son revenu des dalais pour iepaiement des dattes hypothécaires.La Chambre, p^' 367 roix contre 133, re¬pousse un amendp«»»-ni, comba tu par Iegouvernement et hCoratnission, prorogeantjusqn'è Ia fin des hostibtés les duties hypo¬thec urea. L'article 29 est adopié. sans modi-ficiiion, après que'ques explications sur levote.L'ensemble de la lol est adopté par 391vois cootie 87.La Chambre règl* ensuite son ordre dnjour. La seroaine prochaine, on examinerale projet portant suppression des contribu¬tions, des patente?, persounelle-m' b.lière,portes et tenêtres et leur remplacement parune imposition sur plusieurs catégoties dereveuus. Deux jours seront consacrés a iaioi des pensions.Demain, interpellations.

-A.XJ SENATM. Régismauset, vice-president, prononcel'éloge funèbre de M. Vucherie, sénateur dela Haute-Vienne.Le Sénat, après diverse? obsecrations, votela declaration d'utidté pubbque des travauxd'amé mration de la Seine dans la traverséede Paris.Le Sénat adopte également nn projet rela-tit anx taux des pensions des mili aires etmarins atteints de cécité ou ainputés tie deuxmembres.Le Senat s'ajourne é jeudi prochiin.

Th. Henbt.

A LA CHAMBREL'ordredu jour et lea vaoaaaes

voter avant la separation des Chambres Iafin de la loides loyers, i'impót cédolaire surIe revenu, reto ir du Sénat, et la loi sur lespupillesde la nation.Eii dehors de cette conférence, on s'occuped~ la separation des Chambres. On met enavant la date du S aoüt pour permettre anxdsnx Chambres de se mettre d'accord défi—nitivement sur Pimpdi cédulaire du revenu,de fapon k évitor d'avoir k voter k nouveaules quaire contributions directes pour 1918.

meremBELLE MANOEUVRE

Paris, 12juillet.I,e cap' tain e au long cours Schools, com¬mandant le steamer Caravellas, de la Com¬pagnie des Chargeors-Reanis, a repa le 9jail lot un iémo.ignage de satisfaction pourl'hahileté avec laqneile il sat maeoeuvrerson battmeat et éviter l'attaque d'un sous-marin.

L'ACTIONBESPATROUILLEÜRSParis, 12juillet.

Un navire en déiresse a été secouru lei«juiilet dans I'Atlantique. Ce grand Mti-meut, torpillé par nn sous-raarin, avail aüétre évaen-' par son éqnipagi et menapait desombrer. Cependaat, ae 'petit? patrouiHeursd'escorte ré cumrent a la prendre en remor-qi e et 4 le cocdutre en lien tür.L# 6 juillet, nn vapeur qui s'échoua présde rile d'Yeu poor échapper 4 nn sous-ma-rin put étre r-»nfloné et ramené an port.Le mème jour, dans les mêmes parages, unautre vapeur précédent roem coastdéré com¬me perdu put étre déséchoué et conduitdans un port.

La conférence des presidents des grandescommissions et des groupes parieruentai-res, sous la prèsidence ae M. Paul Dus .chanel, a décide jeudi do i' nc- • - jChambre de sieger tons les je 'etnndi prochain jusqu'au imChuisi p.ur ies vayawces Alf. <i a \

L'action aérieuneParis, 12 juillet.

Les hydravions de patrouille des diverscentres deviation maritime oat effecuié autool's de mai par tous les temps 2 627 vo'sd'uae darée r yenae d'une heme troisquarts. Us attaq èrent quatorze fois dessous-taarins, et dècouvrirent 4 trois repri¬ses des champs d« mines.Un eroisaur ennemi fat combatta ; huitbombardemenis de aait sur les bases enno-mies en Belgiqne et en Adriatique furenteffectués. Trots combats aérians ont etélivrés au ronrs de^uels deux appireüs en¬nemis turen détruits.

En cguelques Mots—M.D.-H. Illingwortb, directeur de Ia Croix-Rou«u-francaise a Londres, exprime le vceuqueh 14juillet soit ta « Journée do la France » enAngleterre.—M.Balf>ura déclaré aux Communesque descégoc.ationa sont • n cours entre l'Jtalie et laGrèce en vue de I'évacuation des parties occu-pées de'l'Epire.— Lesouvriers dn Pirée sont venus protesterde leur fidélité a M Venizolos, qui les a remer-ciés en un discours admirable.- — Ua nouvel incident s'étaot produit au tera-Ple de NeuehAiel, oü M. Weingirtaer, chef deorchestic phiibarmonique da Vienne, donnaitun c .neert, le Conseil d'itiat de Genève, afind'eviterle retour de ces manifestations, a décidéd'engager M.Weingarlaer a ne plus donner deconcert, comme il en avait manifesté l'inten-tion.— Mercredi matin, 262 prisonniers de guerrefranqais. vrnant d'AIletnagne.sont arrivés a Lau¬sanne. lis st ront hospitalises dans plusieurs sta¬tions ciimaiériques.— Les convois d'évacués civiis des départe-ments envahis seront suspendus du 14au 3djuil¬let.— Dans la circoascriplion de East Ciare Han¬del, Si. de V«ie.*a,candidat sinn-fein. a été étupa' ,t te Milïragescontre 2,033a M.Lynch, natio¬nalists.fe fils Bdoptif te Gork'. le lieutenant Piesch-

kof, sera attache - l'é'at major de M Kerensky.— L'aceiea ministro ie 1»cour de Russie, com-te Fredi-rik», sera vernisen liberté SOUSCSUtiOH,ec ratsop tte soa tstatde sar té,

Le Havre, la Seine-Ioférieure, l'Eure,l'Oiae et la SommeAutres Département!Union Postale

J impériale du li décembre n'a pas été prisuen considaration paree qu'elle était faite papIe parti de la guerre ; une déclaration duRtfchstag, émanafiou dn peuple allemand,une démocratisation drs institutions seraientau contraire, seloit M. Erzberger et souparti. de nature 4 amener une paix de con¬ciliation.L'ioslitotion d'un ministère parlementai¬re et du stiff age univsrsel b auchirait i'Alle-magne et lui ferait figure présentable poursa rentrée dans la « Sociaté de3 nations »,Tel serait le dernier plan da ceux qp.i necroient plus au système Hindeobarg-Tirpitz.La Gaz tie populaire de Cohgne reprend 4sou propre compte le? objections sonievéezdans les milieux cathofiques rhénans pap['attitude d'oppotition de M. Erzb»rger. Cejournal espére que le parti de M.Erzbsrgerdésavoaara son iuitiative.La Germania, au contraire, confirme quetout le parti du centre, 4 i'excepsinn dequelqoes députés, a décidé d'adopter lepoint de vne de M.Erzberger et de sontenirses demar.dcs de réforme éiectorale enPrnsse et o'un ministère parlementaire dacoalition au Reichstag.

LesuccesallemanddanslarégiondesDunes

Au sujet du succès allemanddans Ia région desDunes, te colonel Repington écrit dans le Tunes:La guerre est une affaire de surprise, etdans une guerre dn genre de la gserre ac-tuelle, 11ne faut pas prendre trop au tragi-que an petit snccès de l'ennemi. Nous n'a-vions remplacé les Fra-cais dans la régiondes Dunes, au nord de Nieuport, qu'4 unedate récente et dos hommes forcémentétaient moins familiarises avec les caractéris-tiques de ce secteur qu'avec celles des see-teurs qn'ils ont longtemps occnpés.En temps o-dinaire, le sectenr des Dunesest ass6zfacile a tenir. Maismardijderuier, uneviolente bonrranque souffliit sur la mer etil faut suppuset' que l'appui naval était pourle moment absent. N03 troapes défsndant lesecteur des Danes se troavèreot done livréesa leur propres ressoarces lersque l'ennemi,après un bambvrdement de vingt qnatreh8ures, non seulement beuieversa les tra¬vaux de dtfense, mais rompit les ponts surl'Yrer et probablemertt aussi sur ie ruisseaude Lotnbaerlzyde. Naus avons toujours re-coann qu'une armee qui fait les préparitifsnécessaires peut s'eajparer pour un instantds n'importe quel système de tranchéesavancé«s.L'ennemi, en lace de nous, sur la cölebeige, était dans one position particabère-ment favorable pour exécater un coup demain de cette nature, a canso de ia puis¬sance formidable de ses batteries cö ières.Ces batteries s'étendent tout le long des du¬nes et il est facile de les concentrer sur no¬tre secteur des Dunes ou sur tout autre ob-jectif ea peu de tempsL'échac de Beneemi, plus au Sud, versLombaerizyde, airès un succès préliminaire,semble montrer qua l'incident est de peud'importance. Un détachement allemand si-tué entre froopas britanniques au Sud etI* mer, t Nord, n'est sürement pas dsnsnne position trés enviable. Depci* qaelquetemps, l'ennemi se moatraitinqaietaa sujetda tcont de i'Yser.II avait fréqusmment proclamé dans lapresse allemande notre intention d'attaqeeren ce point ; il était done naturel qu'il cher-chai 4 s'assurer de plus prés de ce qne fai-saient nos troupes, da s'emparer de ia rivedroite da 1Yser prés de soa embouchure, sic'étiit possible.Le Daily Chronicleécrit :POirla première tois depuls Ie commen¬cement de l'année, les Allemands ont lancécontre notre front one offensive locale quiaabouti 4 un succès partiel. Ce revers, qot estlranchement avoué par sir Douglas Haig, estde peu d'importance, mais il est lacheux.

LACniCi: EN ALLEIYIACSilL

Danx faits nonveanx suryenus depetismardi attestent la gravité das préoccapa-tions de Guillauras II. Par resc-it royal i!adhère 4 Ia réforme electorale poor la Presse« sor la base du droit do vote cgü » aboiis-sant ainsi le système que Bismarck lui-même d' ft tissait « le plus miserable systè¬me éfecloral qru existe au monde ». C'est undes piliers de i'autorité politique et socialede ta noblesse prussienno que Ie roi laisseabstlre. Cela dit beaucoap.Autre signe des temps : Guillaume II amandé dn front ie kronprinz pour qu'il as-siste aux coaseils de la courtinne oü les ré-formes et sans nul doate aussi les dernièresdécisions sur la guerre et la paix doiventêtre arrètées. L'empereur veut associar ieprince impérial 4 ces chsngements que l'ons'tfforce de présenter comme une ère nou¬velle; il eUime qa'il est urgent de ramenerla popularité sur la personne d'nn princequi s'était en toate occasion compromis parune sorte ds bravade avec !es hommes de faré c iO" "t du militarisme, dsptsis les ofli-cürs de Saverne jusqu'aux Deïmliag et auxTirpilzEn rebaptisant le prince hérhiar, selon Iemot cclèbre « avec une goutte d'hnile démo-cratique », l'emper«ur-roi dscele le sonci in-time que lui cause non seu emeat l'avesirde i'édifice imperial, mais ceini de sa dy¬nastie.E 1 préseBce de cette situation, dont il nefaut ni ex-gérer ni dimiauer la gravité, ieReichstag est arrivé 4 arrêter une ligae deconduite et semble résolu 4 y parsévérer.Mercredi il a ajaurné, matgré les instancesdu gouvernemeat, le vote des nouveanxcrédits de guerre jurqu'4 ce que le pouvoirait fait conaai'.re ses décisiens snr les réfor-rnes. Le vete a repai les nationaox Iibé-ranx, les progressistes et radicanx.les sacia-listes olficiels et le centre contre tes seulscoaservateurs.C'est ainsi q»e se dessine la considerablemajorité rél'ormiste.Le ki'oaprlczmandéa BerlinA la saite du Conseil de la couronne quis'est tenu landi, l'empereur a eu, mardl,avec ie cbancelier, un entretien qui a duréplusieurs heures.Sur l'ordre de l'empereur, le prince héri-ter a été appele 4 Berlin, oü il est arrivémercredi matin, pour discuter des décisionsqua l'empereur comp:e prendre.Oi a appris dan3 l'apres-midi, au Reich¬stag, qn'un couvean Conseil de la coHronneavait eu lieu 4 midi, au palais du chancelier,en présence du kronprinz.De nouveaux pourparlers entre les frac¬tions ont eu lien aussi.Une communication offlcielle pnbliée 4Berlin merciedi après-midi a fait connaiireqne l'emperenr a exprimé, an sujet des ré-formes po iiiques d'-maudées par le Reichs¬tag, ('opinion que ces rélormes ont nn ca-ractère tel qu'elles ne corcernent pas seule¬ment lui, mais encore son succetseur. E lesportent effectiveroent sur l'avenir et leursconsequences doivent être permanentes.C'est poor ce motif que l'empereur a mandéle kronprinz, pour qu'il assistat 4 nne ouplusieurs seances du conseil de la couronneoü seront prises fes decisions definitives etoü seront fixées les hmues des concessionsque la couronne et le gouvernement accop-teroat de faire au Reichstag.La ManoeuvreErzberger

Un important article de la Germania laissevoir qua tes deux di cours a sensation pro-noi.ci s p r M. Erzberger dans la Commis¬sion du Reichstag ont pour objpetif princi¬pal i'opinion étrangère, qu'il s'agit d'inciinera la paix en lui mootrant one Allemagnequi répudie la guerre 4 outrauce, les an¬nexions, le continuation d'une politique vio¬lente et atittdetuecr&uuue.L'ttfre4e paix

LuI?éiüi!SisirsosConvocationdela ChambregrecqueOa annonce officiellemenf que Ia Chambreélue la 31 mai/13 juin 1913 ast couvoquéapoor Ie 23 juillet proclnin.La Chambrêqui vas'assemb'»r de nouveaua été élue sous la ministère Goanaris. Ellecompranait pour la première fois les dépu¬tés de3 nouvolies provinces annexées eu1913 ; auasi compuit-elle 316 membres, aulieu de 184. Malgré la pressioa offlcielle, legélecteurs nommèrent une majonté venizs-liste : 4 la première séance de la Chambre,le 16 aoüt, le caod dat venizetistsZaviatianosétait élu pré3ideat par 182 voix contre 93 aucandidat goinariste et 7 au candidat dagroupe Demetracopoulos. La S octobre, laChumbre votait la guerre 4 la Bolgme, par147voix contre 102, mais le roi Coastantiaaanulait anssilö; i'effet de ce vote en exi-geant la demission da cabinet Venizelos. Le3 novembre, le cabinet Z .ïmis, auaqné parM. Venizelos, était reaversé par 147 voixcontre 114. L9 llnovembre snfia, le cabinatSkouloudis publiait au Journal ofjiciel undecret qui dissoivait indüiaant la Chambreet qui fixait au 19 décembre les nouvelieaelections. CWles-ci, en raison de la mobili¬sation générale et de l'absteaiion en massedes vetiizjlistes, n'ont èiè qu'nn vain simu-lacre. La iégalite va maintouant se trouverrétiblie.

.Lesvictimesdu guet-apensLes exiuimatiff£r?f;tNjffïïóiUiaue a pratt-quer en présence des autorités judiciairesdans les fosses communes du clmetièred'Athènes et qui ont déja fait découvrirdeux cents cadavres, ont ameoé ia recon¬naissance des corps öeeinqnante notftbilité#veniziliste. d'Athènes et du Pi.'ée, disparuezmysterieuseraent fors des iTOubif-sqoi suivi-rent le guet-apeos royaliate du lor decembredernier.

Arrestation imminentedu généralB,epoulas

On estime, dans les milieux renswgnés,que l'arresiation du général royalirte Repoa-las, réfugié dans ies montagnes a la suite del'échec dé ses tentatives pour en rainer sestroupes contre Ie gouvernement libéral, estimminente.

En l'iionneur de M. Tardieu

La Société France-Amérjque de New-York a offert un déjeuner en l'honoeur deM. Tardieu, auquel ont assists MM. Btu-menkel, le doctear Cartel et Huwtck.

LaMissiënbeigeauxEtats-UnisDiscoursdu baronMoncheur,au SénatLe Sénst des Etsts-Unis a fait 4 la missionbeige une réception enthousiaste ; 4 plu-siears reprises, le public des tribunes seleva peur applaudir.Le baron Moncheur fut présenté 4 l'as-sambléf! par le vies-président Marshall. Danssa réponse au discours de bienvenue qui luiétait adressé, ayant rappelé les cr.ielleséprenves de la Belgique, il s'exprima com¬me suit :« Lu courage de mes compatrioles a étéraffermi par ta sympathie qui partout, dansvotre pays, s'esi manit»stée pour nos infor-tune*. L'Amérique a pris i'imtiative d ap-porter 4 notra population afftraée son gé-néreux secours, et tout en vous exprimant,du haut de cette tribune, ie sentiment degratitude de fous les coears belgas, je tiengaussi 4 rendre un hommage particulier 4l'admirable oeuvre de la « Commission forRelief in Belgium » qui a fait tant pour sau-ver notre people de la famine.« Oui. Messieurs, la sympathie de l'Am^ri-que raff rmit D03cour ge< et tandis qua leroi Albert, qui, depnis le jour fatal oü notrepays fut violé, n'a cessé u'ètre avec ses soi-dats, poursuit la lutte avec nne indompta-ble énergie, 4 la tête de notre armée, accro-chée au dernier lambean qui nous reste denotre sol, tandis que ia reine, Cjtte dignecompagne d'un grand souverain, déploieune ac ivité inc?ssante pour encouragsr etsecoririr les victimes de ia bataiile, eulhoo-siasniant les coeurs par son mépr.s des dan¬gers auxquelseiles'expose qnotidiennernent,de l'autre cóté du mur de Ier diessé parl'ennemi, le ueople beige vit courbé sousie joug, insis 'les seductions dép'oyées parl'e'inenii, malgré sa loi tynmnique; rien nel'óffaiblit, 'ui martyr, do t I? coursge estsoutenu par notre grand cardinal Murcier,et il attend en silence dans l'union s tcréede tons les partis, l'heure definitive de iadelivrance f« Cette heure, Messieurs, j'ai Ia convictionqu'elle sera liatée par le pmssant concoursque nous p»êteut les Etats-Unis, et le jonrapprocheoü la Belgique, restaurée dans sonentière et par faite indépendance, 4 la foispolitique 6t économique, pourra remerciercomme it convient tous ceux q"i l'ont aidéA4 se dégager des ténèbre? du lomberii poorréappar.hre 4 ia luru ére respiSBdisii'ired'uneexistencenouvelle1

Page 2: $7memé*—w(HM LePetitHavre...4 50 9 Fr. o Fr. ZZ BSO zo>so Fr DaAM Z® 9t. ass > to REFLEXIONS Bur LAGUERREETLAPAIX VIII Apr 'esavoir exposé les declarations de principe de nos

Lê PeUt Havre — Vendredi IS Juillet 1917

COMMUNIQUESOFFiClELSAu moment de melige sous presse, nous rece-tons les communiqués suivants :grande-bretaqne■■ io h. BS.l/n dètacbementennemi qui tentait un coupde main contre nos trancbées a l'Ouest deQuéant a éié re/'elé au clébut de la matwée,laissant un certain notnbre de prisonniers en-tre nos mains, . ...L'aviation a montré hier une grande activite.Nos pilotes ont jeté, au cours de la nuit, ungrand nombre de tombes sur les aerodromeset les déaóts de munitions ennemis.Dans 'la journée, huit autre s expéditwns ontété exécutées avee succès. Quatre sppareus aI-iemanüs ont été abattus en combats aérrens,six autres furent contraints k atterrir avtc desavaries. , ,Trois des nötres ne sont pas centres.

ITALIË* Rome, 11juillet.

Dans la vallés de Travignole nous avon scontre-attaqué et rejeté un detachementdeuxième sommet du CoIbrison.

-S>~

L'Etatfi'esprsföei'srniÉeUne information circulaire de la presseallemande (13 juin 1917) préiend que l'étatd'esprit des trouoes beiges, compoiérs deFlamands et de Waiions, serait oevenue insupportable, et que les desertions se multi-plieraient parmi les sotdats flamands C'estnne de ers fansses nouveltes par lesquellesla propaganda allemande s't fï'orce, bien enraio, d'ébranier la Constance do la popula¬tion des provinces beiges euvahies.L'armée beige est en meiileure forme queiamsis ; soldats flamatds con me walionsii 'ont qn'nne peusée : voir a'»river enfin lejour oil lis pourront en découdro en ri secampagne avec l'envahisseur et libêrerpatrie.La même information rapporte que d«3rises aniaient lieu frëqucniment entre sol¬dats beiges et anglais et que, récemrnent,dix Anclqis aai s'etaient recdcs a Poperin-raient éte tués par fes tróüpes Deigés de la4«division. Gétte nouvelle est non senle-ment l'ausse, mais absurde ; toute personneun peu au courant des thoses iniiitiires saitque Poperinglie est compris dans le frontanglais d'Ypres depuis plas de denx ans. Auresie, l'eniente la pins pirMte règne entreles troupes afliëes. II est même ctirieux deBonstater a que! degré s'est eta blie la frater-nité d'armes entre soldats britanniques etbeiges en dépif de la difference de langue.

la

En BelgiqneocctipéeA Bruxelles

M. Maurice Lemennier, premier échevinde Bruxelles, laisain fOGCiionde bonrgmes-tre depuis ia deportation de M. AdolpheMax, ayant été arrêté et emprisouné parles AlIemands, en raison de son attitudepatriotique, et M. J C]nuin, échevin del'instruciion pubiique, ayant été égalementarrête, on a du pourvoir a leur remplace¬ment duns la collége échevinal de la capi-lale. C'est M Steens, troisiènie échevin, quia assume Jes-fonctions de biurgm stre, enremplacement de M. Leraonnirr, a les troisplns acciens conseillers, MM.Bauwens, Bra-band et Bosquet ont été appelës a siéger aucollége échevina!.

LA Güi&ftE AÉHIENNECinq avions hritanniques

contre treize allemands(Ojftcitl)

Au cours d'une patrouille qn'ei e <ft'eetuaitmercredi, une escadrille de 5 appareils doservice royal d'aviation Davale a rencontréet corobattu au Sud-Ouest de Nieuport uneformation adverse de 10 albatros ét de 3grands bi traces.Trois des éclaireurs ennemis ont été abst-ttis compietéfneht désemparf s, deux autresont cft également atterrir. Un de nos appa¬reils n'est pas rentrê.

___ — i«B». —

Droit imprescriptiblesur i' Alsace-Lorraine

M. VANDER VELdit sa confianoe sur la Russia

M. Vandervelde, minislre d'Etat beige, deretour de Ruseie et de Roumanie, est arrivéa Sainte Aciresse mercredi, k 19 beurss. IIétait accompagné do son secretaire M. deMan.M. Vandervelde avait debarqné mardisoir k Boulogne. II fut l'höte, sur le front,du baron de Broquevilie, ministre de laguerre et chef du cabinet.M. Vandervelde rentre en excellente santéaprès un voyage qui a duré prés de troismois.M. Louis de Brckère, qui aceompagnaitM. Vandervelde, est resié en llussie oü ïl«ompte séjourner qaelque temps encore.Le minisire beige est trés satisfaH d* sonvoyage. II déclare qne la victorieuse offen¬sive acluelle des armées russes conffrme entous points sou inébranlable optimisme IIassistera, en même temps que M. Paul Ilog-m»ns, arrive de L(ndres, a un grand conseilde cabinet que présidera aujourd'bui ven¬dredi, a Sainte-Adresse, ie baron de Broque¬vilie, chef du cabinet.

M. Ribot a été entenda mercredi au S^natpar la Commission des affaires étrangèressur la quesiion d'Alsace-Lorraine. Le prési¬dent da Conseil a fait cette tiéc aration :« Noes avoas un droit imprescriptible sul')'/ Dace-Lorraine, qui ecus a éte ravie parla foto?. Nous ne pouvons pas admetire unplebiscite. C'est i'opiniori du gouvernementtout f mi<r et M A bert Thomas est ^pltine-ment dTojord avec nous. »

Le Ministro des finances dlialieA jPAltftj lil At' HAVilli

Le mini- tre des finances d'ISatie, M. Mede,est arrivé jetidi a Perls, cü ii restera qiiel-que> jours, poor assists r a i'inaugurat onde Tlustitut italien de Paris, qne dirige M.Savy Lopez, prcfesstur a l'universitë tie Pa-vie, f t qui a etc fondé sur Piuitiative de ia.Scctóte de haute ctiUure de Milan.Au cours de ia cérémonie inaugurale, quiaura lieu iondi 10 prochain, a la Sorhon-re, et a larrtlèüe assisteront les ï eprest-n-tants du gr.'iivernemonf, M.Meda prohor.ee-ra un diMoa'rs noliiique.Le minis re dss finances dMAalie aura oe-cas-on de s'entretenir, P ndant son séjoor aParis, avec des personnalités du inoiiuc po¬litique ; ii to rendra entuiteau Havre {óursaluer its fnibistres de BBgique.

SUR MERl¥3ouvernénf,sdans les ports afliésOa télégiapiiie dö Loiidres ia statistiquesuivante :1» Monvements dans les ports brifanni-qnes des navires marchands de toutés na-lionaiités dépassant 400 tohnrs. pour ia se-maine fioissant le dirüanche i«' jtiil et, A tilhearts a i'cxception des caboteurs et desbiteanx do j êcne : arrivées, 2,898 ; départs,2,798 ;2° Navires marchands Pritanniqnes couiéspar des mines ou des sous -marins : au-des-sus de f .fiOOtonnes, 14 ; au-dessous de 1,000tonnes, 3 ;3° Bateaux de pêche britanniques cou¬iés, 7 ;4° Navires marchands briianniqües atta¬qués sans succès par des sous-marios, 17.Les résnltats dc la semaine sous-marinésont sausfaisants en ce sens qo'avec unnombre unpen supérieur a'enirées ct dsci' ies a celui de la*semifine précédente. Jenombre des attiques a diirinué : 41 an fieude 48 ; en öntre, ie nombre da 14 gros ba¬teaux couiés est bien au-dessous de lamoyenne ln-bdomadaire depuis Ie mois deCteUsCd.eiiün, ie nombre dss attaques ellVc-tre des navires marchands aE'giaiT'ti" §ug-menté d nne unite, et la pioportton est de41 0/0.Somme foute, i! y a diminution snr la semaine pécédente dans les trots categoriesd-s navires couiés et accroissement desattaques sans succès.

Le ca'Oral mitrailleur Léon Lrhrcïon, du 323«d infanteric, a été lilc in ces termes a Tord-e duregiment :« Bon chef de piece, par son exemple a mainte-nu S"Shommessous les f-ux les plus violents. »M. 1. breton, marchand dc nouveautés aCrique-tot i'K-neval, a rt.eu depuis les galons de sergentau front.M i'adjudsnt Ernest S-lle, du . .• régiment ter¬ritorial d'irsfan-crie, a été Citêen ces termes al'ordre du régiment :« Soirè <ffirier ésergique ét brave Sbus Vër-diiD.en 101ö,et dans ia Sunme, en mars 19!7,atoujours su, par son ox-raple, sous des bombar-dements fiéquemment violents, obienir de feshommes ie plus grand rendement. 9' taif déjastguaié en septembrc ct octobre 1945, en Cham¬pagne, par sa betie tenue au feu et sofatomeDt leli oclobrea en raffiant ios travailleurs dediversesuuiés disperses par le bombardement ennemi <ten les raménant au travail. Be Sé. n'a pas profiled'un corgé de convalescence et a rejoint le fronta peine guéri. »M.Selle éf it avant la guerre coatrf -maitre 4 IaManufacturedés "Tabac'set est domicilie ruc deTEpargne, impasse flélène, au Havre.

Ises SBarissg sïsa eaitkhirrce{*»;2S«mssïfir®v*la Allcmagnl-

Nons avons signalé que M Jules Siegi'ii d,député, avait attire i'attéhtiön da tnimstrede la marine et du sous-secrétaire d'Etat kla marine march, nde sur la situation desmarrus du commerce quo les A iémandsretenaient e» capttvite en Ail m g e.M. I'amiral Lacaze vient d'éciir it ce sujetè M. Jules S egfric-d la k tire suivante :« Monsieur le député,« Vous avfz bien votilu me demander si,en vüe de l'éch-nge des pruoariiers de.gnerro qui out 18 mois de capttv te.les équi¬pages des b&tintents de commerce f roiftégatement l'objei de l'echdngs ehvi-agé.« J'ui l'honnebr de vous faire connaitreque cede question fait i'öbjét d'une étudespeciale ; il s'. g i, qn t iïet, d'étucier indivdueilement la .situation de c-s marins pri¬sonniers, rob mroent en ce qui concernelet.r uge et ieur classe de mobilisation.« Vous pouvez être assure que le Départrment ft-ra tout son possib'o pour seconder,dans ia mttsfire de ses moyens, le ! ienveil-iant inter èt qne vous pottt'z a nes équipagescommerei-sux.« Agrctz, SJonsirur Ie député, les assurances dc ma haute consideration.

« Signé : L. Lacaze. »

tés qui soigoent et indemniseot lears socié-ta res revenus do l'arméfi hu lades on bles-sés ; (preposition Mabilieau) qu'un autreniiluoii ti ui soit accordé peur étabiir desdispensaires centre ia tuberculose.

X<aPèchc maritimeLa Commission Sécatoriale de la marines'est rénnie totrs la présidenöe de M. Emi'eCbautemps ; elie a adopté un rapport do M.Eenotix sur fes pèches maritimès, compor-tünt com me conclusion la misé én sursis despêchetirs inscrits maritimes ces vieibes c as-sé's dé 40 a 00 ans, ainsi que des pères d'aumoins ctnq enfsnts.E é a ensuite adopté une proposition deM Jeun'et tendant a ce que Ton iudemiiiseles ptloles ;>y nt purdu leur bateau è la suitede c«tte guérre.Et le a f r-fiii entendn nne communicationde M.Cabart-Daunoville sur sa propos uoainrerdisant la vente anx étrangers des Les,bots et proprfé és sur ie littoral. La Commis¬sion s'est, en principe, prunoncêe en faveurde cette proposition de lei.

Pon r los Bloss.ésDsns ienr ircefsant désir d'assarer a nosin fortunes soidats bie-ses, avec tons iessorbs qui leur sont indupensaives, tout !econ fort et i'agrernent que réclame leur santémorale, ks généiduses bierit itrico ! de iaCioix Rouge ont penss que, par c-s héurrsensoleiilèes, il était pins particuuèrementpér-ibie poor nos so dats mütilés de resterenf'eimés daiss les c'utirs des hópitaux, dedemeure'r étrangers ah x spectacles attr.-.yantsqu'olf'rent parfois certains qnartieis de" no-tre c té, d'ignoïer l'aCiivité et Tagrément denoire population.C'est puur répondre k'C'ie légitime préoccup fio:«quo fa Qrotx-itovge'vlent 'd'institoer(lacs les dependances de Marie-Christine un'jardin-tonasse cü ies blessès peu vent vensrseiepo er, tout en jouissant dn dé'ieimxspectacle que présente aCtüellement i'els-gante animation du boulevard A!bert-I«r etie merveillsux panorama de la r de,Dt-pcis hier, ce jardm est ouveri k tous lessoidats blesses, qui sout assures d'y tro-.iverbon accJSil.C'est la réiiüsaiinn d'une idéé générense,q-i'apprécleront tout particulièreiuent I-sso'dits peu valides des hópitaux lointains,comme Missillon, Fraukiiu et Hospice Ge¬neral, a la disposition desquels la directionbien voulü rhettie drs cars q"ue'dcsTgii(-nt ki'attenlion pub ique un cartouche portant iaernix de Genève.Nul dou e que cette initiafive, è laquellenons sommes heureux d'appkmdir, ne soitvitremsnt appréciéo des beiseficiaires.

Relevé hebdomsdaire pendant Ia semainefiuissSm le Sjuiiiet it minuit :Enlrécs dos navires de commerce de fontesnaiionaiités dans les ports franpais : 1,067.Sorties : 1,009 navires tranpjis.Navires d<:commerce franpais couiés, au-dessns de 1,000 tonnes: 3; au-dessons de1,000 tonnes : 1.Navires de commerce franpfis atfaqnéssans succes par des sous-marins : 9 ; ba¬teaux de pêche couiés : néant.

Pendant la ft-mtine qni s'est terminés ènflnuit, Ie 8 juiSlei, le nfott vereent des na¬vires marchands da toutes na'.ionalités dansparts italiens a été le suivant :

(t'un tonnage brut ded'un tonnage brut de

LesBféBiieilsi ErnieL'Esprit de guerre dans les TroupesLe Chef de la section polif'q ie tl- emmetdu mini» tére de la guerre, meoibr. du Con¬seil des déiégués des ouvriers et soldats,Starke vitch, nommé comroisstire militaireprés le commandant en chef du front Nord,a communiqué ses impressions sur i'ofl'en-sive, au correspondant dn journal Itielch.Comme témoin oculaire des dt miers com¬bats, il constate ace l'état d'esprit d'organi-satiorr de la majeure partic de l'armée a ai-leint dos hauteurs .qui permettent des ac¬tions clf'nsives. L'élan des troupes, dans lespremiers jnurs da Toft«nsivo, lat irresi; ti-bie. Quelle que soit Tissue des combats, lesrésultats déja acquis sont gar,mis que la li-berté rnsr-e possède dans l'armée russe unsppui soiide.

L'armée contre fes exirèmistesLe gouvernement a rtcu une serie de ré-eolutions do différents corps do troupe pro-tesiaut contre la désorganisalioöde l arrière,la desertion et 1'agitation maximali-te.Parmi ces résoiutions, il conVient de re-lever comme particnlièrement caractéristi-qucceüeqn'a votée ie 97® régiment d'in-fanterie de L'tluianie, dans laquelle 11 ex-primait sa compièic confiance dans Ie gou¬vernement provisoire, mais exigeantnon desparoles, mats des sctes.La resolution dit entre aotrës chokes :Nous avons enlendu psrlcr d'une forte autorité,maïs nons ne la veyons pas.N'ousapprouverons toules ies rnesures du gou-Vernrmoni provisoire teodsnt a l'assairiss' mentct a la reorganisation op i'arrlère oittsl qu'» la re¬pression de ToDarchle.Nous exigeoiis l ouiptoi defa force armoe contre les déserteurs, les f mon¬teurs de troubtes, ies provocateurs de toutesnuances ; nous exixeons qu'un terme soit mis ala funeste agitationdes anarchistes, des maxima-llstes et des monarchisies.Digne d'atteution est égalsmect Ia résoia-tion TOtfieprr le 186"d'iri kmter ie disant :Nous exigjons Io déserrncdJfrnt itnjaéitiat dei arriére et t'envoi sur ie front des recforts. Dansce but. lo gouvernement ne doit pas s orréier Ue-rsfiti'cfflgHoideUfereeertuée. j

Enlrécs : 527 navires393145tonnes.Sorties : 433navires3iO,s2Stonnes.Dans ces clitiïres, il n'est pas tenn comDtedor bateaux de pêche et du petit cabotage.Les pertts des navires marchands italiensdans toutes ies mersoutété dedeu,x vap: ursde 10 petits voiliers.Un gros voii.c-r, précédemment annoncécomme perdu, est ren tré sua et saufd'apièsles derniers renseignements.Un petit steamer vieut, avec dn retard,d'etre annoncé comme couló pendant lemois de mai.Un autre sieinter attaqué a réussi a s'é-Chapper.

Destruction cle Navires dartois(Officiel). — Les navires d -io s suivaotsont eté cottlés : les goéletlcs Gimbriu et Ko-dan et ia goéiette a motöur allanté Rerkia-vik.Otiti derniére a été couléement.Le sous-marin a canonné un canot divetage.LeIjmunal annonce que l'arrivêe a Kief dn sous-marin U.-C.-52, qui répara ses avar ies al'ar-scoal de Gaaix, a été commnniquêe a lapose j nr le consul aliemand de celte ville,M. Etnife Winter.

satis avertisse-

san-

sous marin «U.-C.-E2» a ÏCiein téiógramoiö de Cadix piibué par t'Im-

ïfqise Fs-am^miie ars SBawreLt Ligue Fcunp.ise, dönt on sait Ie uaagni-fi die devfrioppHrueht dans notre ville, con-nue dans ia France ent ère et k la têle delaquelle sont, comme présidente d'honneur,l'illU3tre historiën et académicien ErnestLavissö et ie glorieus générai Pau.etcommeprésident efiéctif, M. Emi'e Berlin, de l'Ins-titut, o ganise une réumon des plus inté-ressantes, offër te aux membres de la sectionh tvraise, pour le Sirnrdi 28 courant, a 8 Inu¬res 30 du soir, ou Grand Théaire.M. Andre Lebon, ancien ministre du com-mrrc?, ai c en miöistre dos colonies, prési¬dent de la Federation des Indtistriels etGomm ere ants francais, l'an des hommesqui ont ia plus grande et la plus legitimeautorité en matière éconöroiqbe, l' ra uneco f re nee sur La Guérre écenomique de de-main, en parlant specialement sur les interê s du II ivre.La stance sera présidée par Téminent hellemste M. Maurice Groisit, de I'lnsi itut, ad-minhtrateur du Collége de France, qui feral'exposé du programme tie Ia Ligue.Une partie artiJtiqoe, a laquelle des artis¬tes distin gnés apporteront ieur coticours,suivra a conférence.Ge sera une trés belle et patriotique réu-nion.Gontrena léger droit de location au profit <tesOEuvres locales de gunrrre. les membres de iuLiaue pourronTretlrer. au bureau dc loeadoo duThéaUe.los places qu'its UcsireroDt.aux jo e s etheure; -qui seroot uttérisuremeni indiqués dans ialettre (Tinvitalionqui leur sera adresséc.Les inscriptions, coanno membres de ia Ligue(fondati.urs, 100fr ■donateurs, '10fr. ; soc étsirés,ö fr. edh'renls, 2 fr.), donnaht droit d'assister acette soiiée qui promet d'etre narticuliercmentBri.Wurjte et p rmet'ant tfechoisir ses places, pour-runt é re encore revues j.isqu'au 22inclus. en s'a-dressanta MM.Josepü Roussel, r05, boulevard deStrasbourg, et E'Jg. Simon, H8. boulevard deStrasbourg, déiégués princlpadx de la l.igue.Tissuede ia soiré'i ét gra «o a Taimibic obli-geance do M le directeur do !aGotrlpaglSfcTrao-qiise de T-amways. un service de cars sera misen circulation sur les ligncs de Sainte-Adresseetde Gi'bvtile.

4ÏM ïïs» VSSecours atixle front,sur

Si-rVlcF»«e 1» Vific

Commission de Repartition deBtcssés miiituires. mititairesprisonniers de guerre•Parmi les groiipomenls qui se sont constituösau u. '.uitde la guerre pour secaurir nos bravessoldats, ceiui des services mdoicipaux dc la villedu tl ,vrc (employés, police ot 'sa'peurs-p-cipiers)lionl tiao place des plus hono-abtes, non seulfe-ment par ia continuité do Teffjit fait depuis lecouSUiéiTreiBchtdes hostiolés, provendtit des re-tenues iinrement consentirs sur ses traite nefitsou salaires, —inais »us-i par l'im'pbrlancede c -teU'órt.qui s'öicve actuélieraent a piés de 83,100francs.Eu raison de ieurs ressources, les Servicesmuniciphux ont pu jiifqu's ce jour, verir i ffica-c-naeist.en aide a dos soldats blesses, mihtairéssur le front, prisonniers de guerré et conlribuerdabs uns large mc-surc,a leur bion êtfé ; de plus,a t'occasion de fa ftMenationale, il<viennent dedistribuer a nöuvéaü. dans totis les böpitsux deia Ville du Havre, des paquels de tabac pour ctói-qi|i blesje ou convaicsci n! et co en dehors dosvisites que leurs déiégués fout lêgulièreméüidans ces bópiiaux.

lens érrlfi*Parmi les quetlims adresséts au geiivër-nec eut et pub iées au Jout ml Officielneusr levuiis la su.vaate :LesAwotUiairespères de 5 e' fahls

M.Georges Areel, député, d<mande a M. leministre do la guérre s'il ne trouvtrait pis justeet possible que lous les auxiiieires réicrvistos-tofrilóriaux et territori lux, pê'fes tte cmq enfants,fussent «ssimiiés aux auxitialr.s de li réserveterritoriale, culiivateurs, qui vienaeut d'être misen sursis. Question du 2» juia 4917.;.Répante—La question ne se pose pas pour iesauxiliaires pères de cinq enfants, cuhivaleörs,appartensni-è ia U. A) T. Ge- hommes ont ó'ërenvoyés comme totis les agriculleurs R. A. T.du se vice auxiliure Elle se resoud par la ne¬gativo pour ie-,culiivateurs territoriaux ainsi quepoiir lts non culiivateurs de toutes classes.

— —~-

scction serbc et deux fièves de TFcole eom-merciale, Robert Kuhu et Francis f.ejeune,r. qoivent des prix oil'eits par la Chamb^ dècommerce.

EgolesupérieureoecommercePrcckmaaocdesrêauitatsderauaee

mmÖ.FttéilitHEe Militaire

Nous avons annoncé q-ie la Médaillemilitaire"v3it cut décernée a M. Louis-Mariodit a ze. déca¬de des suilt s de blessures recites dsns un a«sautdes tranehöea ennrmirs, Ajouions que Ia óroixde guerre avec palrae accompagne la Médaillemi-lilaiie, allribute a ce vaiitant sotdat.

(.'ifatlans a r©r!}i'e du JonrDu Corps d'Armer. :

Le géöéra! commandant fe corps d'armée acitê a l'ordre du jour le canonnier-servsnt Mareel-VicforPéunlitr, du ..• rêg'iment d'artillerie, dansles tefmes sulvants :« Adonnö spontanément son sang pour ütretrensfuse a ton officierqui venait d'nvolrune ar-tcre sectioanêe, donsant aiasi un bel exemple dodevourment et de ia fraleroité qui unit lous lesofficierset sosdats. »M-Msrcel-Victor Psumier, de ' la cDsse 190.étaii, avant ia guerre, employé comme cominisdedehorsUnslarnaisonBh.Msizolffctff».

Ass Couarii sejfsérSeEarde Ja ilfuhialKé

Le projet de lei Honnorat en fov-ur oessoidats et marins vicfimes de la guerre, (fonts dispositions injustes uvaisnt excité t armiles Societés de st conrs niotnels line émotiontrés vivo, sera saus doote transformé.Le Core ail superieur de la mntualité, quia tenu cette semaine sa seconde sès ion de-pui s la guerre, vient en 'tfl'et, après d'aidea-t' s discussions, de décider : que puisqa'ils'i.giisait de secours de mn' ciie, on rlevaits'a pp oyer sur ia loi de 1898. Ii a acceptéqu'un agriTnsnt nouveau lüt nécessaire pourque les gocétés partioipent è Tapplicttionde la lol, mats il a suppritné la prssque tota-lité des obligations noüveües que le projvtimposait et uont Ie3 denx principaies consis-taient a obbger ies imprévóyants a entrerdans les Sociétés de secöurs "mutuels qu'ilsauraient désorganisëês et it faire de ces So¬ciétés les collectrices d?s versements ou-vriers et paironaux pour la retraite, ce quiles aurait a leur grand detriment transfur-mees en fonctionnaires de i'E'at.Les decisions du Conseil supérieur sont,on Ie voit, contonnes sur presqne tous iespoints avec celles du congrès da Havre ;elles rendent trés acceptable un projet qniavait provoqué les plaintts ies plus vives :elles ont été votées a i'nnanimité. Le Con¬seil a également öemardó : i« (proposition

La cérémonie de proclamation des résnl¬tats de l'dimee de l'Ecoie superieure de Com¬merce du boulevard Franq jis-Ier a eu iieuliitr, selon la tradition, daas la pins simpleintimité. Eile était presidée par M.GeorgesLafaurie, président du Tribunal de Com¬me»ce et president de la Commission de sur¬veillance de i'Ecole. Leprésident était entouréde MM.Laurent Toutain, membra de ia Cham-bi'e ds Commerce ot president du jury desexamens ; E. Bccka, vice-présideut de la

1 n» vii.vo pii/V; i.lauf H ri

jury; A. Masqueher, secré.aire trèsork r dela Chumbre de Commerce ; de pkisieursmembres du jury et dis professeurs de l'E-tole.M. Georges Lafaurie, dabs une excellenteullocutioo, présent i ies exrus-s de M.OlivierSunn, le préddent habitu l du jury des t xa-mrns, retenu a Paris a iu suite d'un maiea-contfMix accident, puis ii remercia M. Lau¬rent Toutain de s'êue acquitté ds ia presi¬dent» du jury -avec ie denouement qu'ii atoujours rnontrö pour I'Ecole.Après avoir houora ia nfSmoire de M. Ri¬me ot qui fut son prédécesseur dans la Com¬mission de I'Ecole, M. Georges Lafaurie sefait i'tcho du témoignago uuanime qui a étérendu par MM. les examinateurs et profes-seurs, au travail, a i'application et a la bon¬ne conduite des jeunes élève's strbss. Enterminant, ii tient a téiiciter d'une fapontoute particulière i'éiève sonant avec ie pre¬mier aiplöme supérieur et ia médaille otf-.nepar M. le ministre du commerce : « RobertR iika, dit M..Lafaurie, Ie hts du distingnévice-présideut de la Gharribr. d - Gomnjeica,que j'iii le p aisir do voir a mes cö- s, aeempris tuut i'ensagnf mi-nt que comportela mort d'un f ère tombe an champ d'hon-neur. En le félicitant, je suis sur, et jo meiéjonis, de la joie qui dolt être dans lucoeurde mon distirgué collègue ».A M. Laurent Toutaiu rovenait Ia mis¬sion délicate deprononcrr le discours d'usa-ge. II ie ill de fa^on remarquab e pariahautedr des idees üeveloppées, tant au pointd» vue patriotique qu'au point de vue éco-nomique lorsqu'il s'attachaa démontrarquela France est capable de mériter son litrede première nation du monde si ch ique ci-toyen fait son devoir duns Toe-vre de rege¬neration commorciale, industrtelie et mo¬rale, après 1c traite de paix.So faisant l'interorèt- - des membres dajury, M. Laurent T utain fébcita chaude-inent M. Dany, directeur interimaire, pourles résultats obtenus au cours de l'anuéescoiaire. C'est un succès que nous avons ététmanimes a constater, di -il. Puis ileèds hparole a M. Dany qui, avtc toute l'auforitéqu'on lui eoffnai., tint a presenter ses mc-il-iêurs elèves.Volöi Ie classement des élèves selon lenrmérite :Examens de sorlD, 2« année : Robert Bricka,L m-quan-Viuh ; Hult i Legrand ; RaymoodDuval ; Marc Djbrissy ; Marc Duroa ; I' <boDlez ; Tneophile G iiloert ; Rtph ët Bordal ;Pieire Pibenet ; Robert Leftbvre ; AdrienLint ; Paul Lang.Examens de passage, Ire année : AugustsLeinoine ; Fél cien Qainot : Robert Angus ;Edoaard- Gamier ; Eugene Gigu ; Andre II 4-bert ; Charles Petit ; Alain Gmbert ; RogerD lantë; MardBt Lecnyer ; Maur.ce Eloy ;Pie re Ptedagiiiel ; Roger Gmbtn ; FeraandDavy ; Pierre Lepaguoi ; Charles Lainé ; Jo¬seph Móiitjaret ; Emile PousSier. Ces 18 élè-vi s sont admis en 2" année.Section serbc : Y ivannovi toll ; Pariilöli ;G avitchky ; Mih.ï oviich ; Ymkovitch ; Po-povftöh K tztch, AthanuizeoviCch.Ecote cunimeraaie : Robert Ktfhn ; F aucisL«jeUne ; Jean Van Ilamelrvck ; Piewe Mar¬chand-; Pierre Ilebert ; Jean Plate. Ces sixélèves obtienaent le certifieat de l'Eeoiecommerciale.

Une Rellque tie 1870

Oneonnait !es sympslhies que Irs Norvêgfensout témoignées depuis le dêbut des hoklilitês a Iacause des Allies, aussi, a maintes reprises dousavocs eu a 'éiirrgislrer dsns nus co'o'nnes lesdons qu'ils ont fait aux diverses muvres fran-qaises.Los journaux de Ghrisliania nous apporlent lesrensetgnements suivanls sur le succès obtenupir una fé;e de blénfilsancfe orgsnisêe en cello-v»Hesu profit de nos compalrioles alteints psr laguerre.Gosuccès nous est d'autant plus préciénx quo,par une circonstanca assez inaitendue. Taduunis-tratlon de notre journal a étö appeiêe a comri-bucr au succès oe cette oeuvre do solidarité.Voici un extrait de Particle d'un de nos con¬freres noivegiens :Le B-zar franq is qni a en lien a Christia-nia les 8, 9 ot 10 mai, au profi des invalidesfrarcais, fut na veritable succes. Du reste,la som me recueülie s'est éievéè au jol i chït-lre de 48,000 francs. Les Norvégiens ont ti naè témoigner unu fois de pins leur amitié etleur attacbement pour tout ce qui a traitaux idéés frar Qiises. D j-», en I87Ö, il avaitété erganisé a Ghrisliania un grand b zarqui avait duré trois semaines et qui avaitrappor té 80,C00 francs. Ce bazrr avait enpour .but de seconrir ies soldats invalides etpour venir en aide snx aéronaules Rou ieret Desehaitips. Ea f ilet, a cette époque, nnbalkin francais, portant le nam « ViHed'Oh-ióans», était venn atterrir, poussé par levent, sur une des monteg es du Nord de laNorvège.Ce ballon fransportait !a poste de P ris èTours. Les aéronattfes qui ne savaient pasexsctement cü ils setroavaieot fuient recusa bras onverts par Is pry sans, puis le lial-ton fut amené a D aromen d'abord, puis èGhrisliania ensuite, cü il fut I'objet de lacuriosité de tons, Curnme il le fut en 1917.car par une attention tomhante de la partde TUniversité de Ghrisliania qui conservep eusement Ies debt i s du ballon, et g ace al'intervention airnab e de M. Ie D( Wallen,professeur d'ethnographie, et de M Frans-ce-co Catti, aórqn'aule, i! fut permis de l'ex-poser è nouveau Par une attention tréstOQChsnte aussi il fut rrniis au Comité dubszar, pour y être vendu au profit des sof-Matsinvalid.es, un journal lombé do- b-iion« Ville ri'Órië'ahs », a Orrrf'6 Sign. Ce jour¬nal s'appslle : Jievneh, bJomadtiire du Havre,public par Timprimeiie du joumai LeHavre,et porte la date : semaine 3 au 9 svptembre,samedi 10 septembre 1870.Chaqtfè söir eurfeat lien an bazar des re-p?é?en(at ons données par d s artistes nor-végiens cosinus et qui, trés gracieusement,prétèrent I ar concours. Dss amateurs fran¬cosis jouèrent le Luthier de Crémone, de F.Coppée. Le second jour un prètre franq.isdecoré cie fa Croix de guerre et se rendanten misrion r-n Russle, vouiut bien dire quelques mots. Ce prêtre, arrivant directementdes tranchées oü ii avait passé deux mois etdemi dans ia région de Verdun, tit une impression sur ie public el Ton sentit encorernieux cesöir-ia se resserrer ies liens entrecenx qui donnaiect et ceux vers qui allaitToffrande.Ce bazar fut un vrai succès et je diraipresqne une demonstration envers la France. Chaque soir la salie était trop petite pourcomehir ie nombr-ux public qui s'y pres

TpÊITKESGOflGEHTSFolies -Bergère

Anjonrd hoi vendredi, spectacle nonveanrTourtelin s'amuse, trois actes dé-opiiants doKerool et Birré. C'est aux Folte3irou ve Ie record du rire.

quoa

nées on ne parkit presqne exclnsivement enNorvège que I'anglais et surtout T&ifemand.Nous devons un remerciement tout spécial anos smis norvêgiens qui ne msDquectaueune oc¬casion pour têmoignc-r leur sympathie s noirepays, et bientót la somme envovée rarla NorvésHö oicTcru a uu aüüiuii ut; i ranes.

L'Asse?iib!éogénéraledciaGumpagoieTransoUanliqne

Msrdi, k trois henras, a eu lieu sous lapre sideuce de M. Juies Charles-Roux, Tas-semblée générale ordinaire de la Compagcie Générale Transatlantique.Le rapport dn Conseil d'administralion aé Iu par M. Dal Piaz, le trés distingue dicteur. Il fournit les renseigaements babinels snr Ia situation générale au 31 décem-re 1916.On trouvera dans le journal Le Havre dnmerer t d 41 juillet 1917 une analyse com¬pléte de ce rapport.Eu tarmiaant M. Da! Piaz a rendu nn j- s'ehommage aux morts du personnel navigoautet sedentaire, a csux qui sont torn è? Icon-rageussmeut pour la défense de la Patrie. IIs occupa eDsuite de l'avenir de la Compagnieet du programme d'après-guerre qui moti-vera una augmentation de capital.Le Conseil a décernó pour i'unnée 1916 unertain nombre de médailles. Voici cellesconceruant Le Havre :Médaille d'argent : M. Le Baiily, emplové kTagence du Havre ;Medailles de bronze : MM. Pittoors, gardienchef; Autr- t, Lecuz, Jeantier, chef d'èqnipe;Fellmann, Biuzat, ajnsteors ; Horauli, Noël,Fiament, ciiaudronniers; Quesnel, charpon-tier ; Tetrel, ma^on, a I'rgencs du Havre.En souvenir de leurs bons et lovaux ser¬vices.Ce rapport a été souvent applacdi. Les divertes résolntisns proposées ont été votéespar Pass- rrfblée qui a i'félu MM.Déjaroiin-Verkinden, Gautreau et Piot, administrateurssonants.

Dans la distribution des recompenses quisuivit, Robert Bricka recut ia médaille of¬ferte par M. Ie minisire dn commerce, iamédaille offerte par f Union d«s Associationsues anciens eières des Ecoies supérieures decommerce, ea souvenir de M. Jacques Sieg¬fried, et un revolver d'ordonaance, offertpar TAssociation-des anciens élèves de TEc >lesupérieure de commerce du Havre. LamQuan Vinh requt le prix offert par la Clntn-bre de commerce, une médaille d'argent etInn otivr.ige Auguste Lew nine ct Féh'CienQuiiiOt r-coivent des prix oflerts par laChambreaucomimave; huit élèvesde ia

Brevot sniiés-lrur (FHI«s)Ont été admises délioitivemeat :Miles Balvay, Fiament, Gauthier, Girard,Jacotin, Lainare, Manch^c, Ly M^rchincJ,Levescot, Moissoo, Petit, Philippe, Pitnare,Richard, Théubet.

G.CfiSLLIRD,GHIRüHBiEH-fiBSTISTB,17,resïsriiSÉriM

FAITS LOCAUX—Un nommé Marcel Bouiangrer,46ans, jour-na'.ier ifemeurant 30, rue du Grand-Croissantaété arrötê mercredi pour tilouterie d'aiunents aupréjnd.ce dé MmeGateiain, restauralricn.'st. rueGusimir-Deiavigne. Eu ptus de ce dêiit. Boulan-ger devra lépondre d'un vol d'effets d'habille-ment ctdelinge qu'ii commit aiors qu'il logesitchez MmeKrrbrat, débitante et iogense. rue Dau-pbine. 64. au prejudice d'nn nomniéOllivier,ina-rin mobilise,absent du Havre.— Pour ivresse et rebellion au sous-briqadierde poliee Grippois qui Ie conduisait au poste. lenommé Joseph Camara, marin a bord du navirelie-de-la-Rèunion, a été mis a la disposition duparquet.— Au service de MmeBelleguic, restaurairïcecours de la République. 69, qu'elie quitta ie, 1!courant, Genevieve Brisrd, 18ans, uomestlque,dimeurant a Saint-Maftin-du-Manoir,déroba unbillet de bacq'je de cent francs danste veston d'unpensionnaire, M.Beurtheret. douanier, aiors quece véiement était accroehé dans !a salie a m«n-ger. Lejour de son départ, GenevièveBriardvotaencore un billet de cinquanle francs a MileAlber-line Talbot, eaijioyée du meme restauraot.La coupasle a fait des aveux complets. Eilea eté rinse a ia disposition du parquet.

Dons et Souscrip tionsNousavnnspuftliódans tojournalLeHavre dujeu-<li42jiiftlet 4917«cslistesimensualitéset dons»,de!a Soc'Éc Havraise de Secoursaux prisonniers deguerre, et ia %>uste de j otaxio du F*utr dnbffidad,

La Fête du Soutien FrancaisLa matinëe et le thé-gala organises par|e « Souiien Francais » pour diraanche 4Sjuillet, dans le grand bail des Tran-atlanti-qnes, sont assurés d'un grand succès.II ne pouvait en être autrement, car I'idéegénéreuse de Toenvre doit nécassairementtrouver un écho dans les coeurs Chaleurenxrt enilionsiastf s de eqs concitoyens.Et puis>ii f'aut teriir compte qu'un programme dotout premier ordre leur est ofl-rt.La grande étoile, Mme Ariane Ilugon, s©produira pour la deiixièute fois au Havre oi*le souvenir de sou britlant succès obteauea4913est encöre palpitant.Qui n'a pas eu le bonhsur de voir Arian©Ilugon dans ses interpretations de la musi-que par la dtnse, ne peut se rendre comptode Ttxqoise vision qu'elie offre au public.D'autces artistes de haute valeur nouspro-rrietrent de vériiabies jouissahces anisti-ques. Citons notre si apprécice concitoyea-ne, Mme d'Ozouville ; Mme Rivière, desgrands concarts de Queen's Ha!!, cantatric©a la voix veloutée, qui, avec une réeiioscience musicaie, interprète les composi¬tions les plus difficiles ds nos maitres mo-dernes; Mile Jinins D zannay.reelle virtuosesur le vioion ; Miie Piton, excaiiente pia¬niste.Signaions également M. le commandantMaroquin, de i'arniée beige, qui a dfjAob¬tenu de trés beaux succès k i'Hötei de Ville;M. Ie lieutenant. Garniehael, de l'armée an«glsi e, qui, après une chanson de son réper¬toire, mettra en. valeur Tipperwy, ce chantdes militaires anglais devenu si populaire,dont le refrain sera repris par un groupe d©soidats arigL is. Nos alliós, dout lecoeurró-pond a tous les appels pour soulager la dé-iresse, nous cffrent, en outre, Ie concoursd'un ma^nifique orchestrc auslraiien et d©la trés belle chorale irefge.Un groupe de nos braves marins f rsmpaisse tera appiaudii' dans un choeer patrioti¬que dans b quel vibre toute leur am8 devaillants défenseurs.Et sur lout cela, les mailres, aui mettronten relief les belies manifestations artistiquespar leur grand talent personnel : M.Wool-k tt et M Trong, l'un Frarpais, l'antr©Belg», mnsicieiiS dont i'art inspiré et lascier ce profönde s'imposént de droit.Ap és ies sobs du concert, fe thé sera servlpar petiies tables dans le grand hall par lestsoins de Ia maison Senti, ce qui veut dir©que lout sera parfait et de meilleur goüt.Dtirant !e thé, Torchestre australien et iatchorale beige f ront entendre plusieursniorceaux de leor répertoire.Les biHots poer cette matiuée exception-celle (6 fr. dönnant droit au thé) sont envente jusqu'a vendredi 43 courant, chezM•Hoffmann, 44-1. roe. de Paris, pendant Ie44juilk't, et la matinee oe dhBanche 43,chez M.Senti patissier, place Garabeïta elrue de la Bourse; a p rtir de deux heures,dimanche, a l'entrée de la salie.

Tkë&tre-'Cirque OmniaOaiasa<£>~ tiaé\

Anjourd'hui vendredi, soirée è 8 h. 4/2avec : JLa Feaasisiss am yews, verto $Le lJarc national de Yellowstone; Forfait dar ;Pour epouser Gabij ; Pülhe- Journal el derrièresActuanus ds la Guerre. Location onrertecuiume u'usög-j.

Select-PalaeeCo soir, a 8 h 1/2, débuts du nonveanprogramme : té», Les Groquis de Yense,Sheriock Holmes (5" épisode, Les Ilêtres pour -pres), Le Fiancê de Lucile, Les dsrmères Actua-tites de la guerre au jnur le jour, Freddy, pê-cheur hms hgne. Aiiraciiori : Mus Carabine,la reine nu tir, et Miss Moiiy, la cible liu~maine.

GAUMGNTLES VAIVIFSRES,

POURLALIBE8TESuite de rinvasioacles Etats Luisuite et lia

Id. rueEd.-Larue

LES HYPOCRITES(i'après 1ccélébre romantl'Henry - Arthur JONESLesBOUdRIQUET)(ieGUERREHarryclPaiös-Jsaraal,ite.

Aujourd'hui, Soiree

{Communications(BiverscsCouconrs de Pouiiuières. — Pour les ju-ments pouliiiières de Tarrondissement du Havre,le coccours aura lieu a Mo^tivibiers le 24 aoüt, i»44 heures, piace Fclix-Faure. 6,050fr. de primesseront Distribuées.I'our les juments poulinières de l'arrondisse-ment d'Vveiot, u Yvetot, le 25 aoüt, a 43heures,sur Ie Champde Faire Le montsnt des primes deeet arrondissement sera de 7,ï00 francs.Lesdemandes d'admission devroat être adres-sées. savoir :Pour Ie concours de Monllviflirrs, h la Mairie:I'our celui d'i' vctot, a la Sous-Prufrcture.Lrs registres d'inscripiion scroat c'os irrcvoca-blement buit jours avant les concours.

Taxe snr les Cliiens, —Le nouveau classe-meut des chiens, opéré en conformi'c Uu réqle-ment d'adminisiraüo') pubfique du i aoili nsö et'de la résoluiior: du Consoi!municical, eu date du22décembre 49i6, a pïovoquè un certain nombrede réctsmations.Toutes ces reclamations seront attentiveraentexaminées et les iniéressés seront, au besoin,nvoqués devant la Gommissionspéciale cbar-gée de slatuer sur b sdib-s reclamalions. Touteserreurs seront ainsi rectdiêes.Mais ia circonstaoce que précédemment unchien éiait inscrit dans la 2' cité^orie ne sauraittoutefois être, a elle seule, invoqufte d'iine faqondecisive, puisquo le nouveau ciassemnnt a préci-sément pour but de mettre fin aux classificationsabusives des années anterieures. !l n'est pas ad¬missible, en o(Iet,quo ceux la seuls aui ont faitdes declarations (xacles sur Ieurs chiens p-ientla taxe do prrm ère c.'téqorie, alors que d'autres,en faisant une-declaration inexacte, se verraientuoiquement astrcints a Ia taxe de seconde caté-goiie.

§ullciin dss §ociéièsHarmonie Maritime. —MM.les scciétairessont invités a assister a ia prise d'armes qui auralieu demain samedi <4juillet, poor i'exdcution demorceaux pitriöliques La Societé ne preadra paspart au défilé.Réanion saiie 1, Ilötel de Ville,samedi,a 9 heu-.res du uiitia.

I a -Fratcrnelle Municipale (Soeiitê Ceopi-ratioe cleConsommatien)en formation.—L'A'Svm-biee générale consutuóve aura Üau le meicredi18juiltèt, a 20heures precises, a i itötel de Ville,salie des séances du Conseil mtiatcipai.Ordredu jour : !• Procés verbal de Tassembléegénérale du 18juin ; 2«Approbation dos statuts;3' Election des membres du Conseild'administra¬lion ; 4«Election dos membres de Is Commissionde surveillance et de coatrólè ; 5» Quostiptts etpropositions

Page 3: $7memé*—w(HM LePetitHavre...4 50 9 Fr. o Fr. ZZ BSO zo>so Fr DaAM Z® 9t. ass > to REFLEXIONS Bur LAGUERREETLAPAIX VIII Apr 'esavoir exposé les declarations de principe de nos

Petit Havre — Vendredi IS Juillet 1917«ociétc Franklin de Secours Mutucls —Perception drs coiisalions dimanche. <5 jutilet,de 10 heures » li h. i/i du matin, Cereie Fran-ktin, salie n* 7, 1" étage.Prière aux sociélaires de se tenir bien a jour dekun cotisations.Les cbangemeDls de domicile doivent êtreprires! és. Ie plus lót possible, au président, ausiége social, Gerclc Franklin.

Soelété llevraiee de Tare-.bonrs et Clai-roiis ei (('Education militaire. — Les so¬ciélaires soct pries d'assister a la répé'.ilion quisura lieu Ie ver.dredi 13 juiilet, a 8 heures dusoir, au siëge, 4, rue Pa'fray.Les repetitions ont lieu ie mardi et vendredi.

Eeïairenrs EnioiiNtes.— Camping 13-14-15juiilet. Rehdez-rous le 13 au soir, a ia gare dede dêpart, s 8 heutcs piécises. Équipement com¬plet. Emporter vivres pourlo Li. Prix de l'excur-sioii 2, francs en vue (les frais de voyage.

§ulkti% des SpsrtsJen «2e Kalle

Ditnancbe prochain sa disputera la finale duChsnipiomm du llavrp qui doit en outre qualifierles équipes pour ie grai d chsmpiounat militaire.Parmi les équipes en prósence nous notons :Craenenbior.ck, Collsrö, Meurice.A elles se.ulcs elies torment un programme detout prerni. r ordre.L'une des bonnes harmonies beiges du Havreflonnera un c ji e:rt.

SEROIIQQBREGIQMALEftionüïiiliers

Acis aux Débitants. — Le sucre pour le mois dejuiilet sma u.'sinnüé aux débilanls chez M. 'l'au-v,ei, aujourü'hui ventlrtdi, dans Taprès-midi.

BoibecIncendie. — Mardi, vers qua'.re heures du matin,«n inortiriie s'est déc'.aré ehcz M. Henri Pain. ini-noiier au Vivier, dans un batiment s.tné dans sacour. Cet immeuble, a usage d'etsble et de buan-deiie. avee grenier au dessus, renferinsil environ600 bolles de foin. It a étó la proie des fh minesainsi que divers instruments sratoires, le foin et«les poules avec letlrs poussins.A la première al urne, Ia pompe des Indiennc-Fies Franoaise a é!é amenée sur les lieux, sousle commandemcnl de M. Giraid. chef d'entrelien.Les pompiers, a dés ijes vobins et du personnelde l'élsblissrmenl. ctff dü se bom ér a noyér lesdéeombres ct a preserver les écurlos pfoches,ainsi que les cutrcs (aliments et ur.e loge oü setrouvait one certsine qusfttité de bois.Grftce au concours empressé de tous, au boutd'une heure dn travail, tout danger êtait Oearié.Les dép S's pour 1c localaire, M. Pain. s'élévent &environ 2,; 00 francs. Qusnt a ceux eoncernanti'im'.'.euMe qui apparlient a M. Louis liicard, oro-priét/.ire a Rouon, ils n'ont pu encore êt'eéva-iués. le tont couvert par des assurances. Lescauses dt ce sinistre sont Ignorécs.

LHiebonneFêie du !4 Juiilet. — Programme : Le 13 juii¬let, a lu ut os du S- ir, a la Mairie, disliibution depain ei de viande aux indigents.Le 14 juiilet. a 4 heures du soir, place Fêiix-Faurc, concert par les Sociétés musicales de laVille.Halle au blê, distribution de jouels aux enfanls ;a 5 htures, place Csrnot, concert par les Soeiélésoiusieales.M. l'adjoict, faisant fonclions de maire, adresse& la population l'appcl suivant :Ghers coneitoyens,

L'adminisiraiion municipale de Lillebonnevouseonvie a célébrer la Fête Nationale avee loute ladignité que commando la situation actueiie. Ellevous invite a pavoiser vos demeures, en joignantaux eouieut-s naüóirsres celtès des vuil! mts paysqui combatte.nt a nos cölés pour ta cause du droitet de la civilisation.Vive la France 1 Vive la Répnblique !

Le maire de L<il lome ,gvESKEL, adjoint.

Commissariat de police. — M. Silzmano, commis-stiïfo de pofieo üo 4« elasse a Ltllebonne, est nóm-mó comniissairo spécial de police adjoint de 3'classc a ia direction de la Süreté générale, a Pa¬ris.

GriquefoM'EsnevalCbsèques. — Sametii dernier, en lYguso de fi-i-anetot-i'Esi oval, ont éló eélébrées, au milieud'une trés nombreuse assistance, les obsèques dudocteur Aubry.Derrié c ia 'familie avaient pris rang dans tecortege : M. VattemenL maire; MSI. les conseil-Icrs municipsux ; M. Fidelia, const slier general ;M. Ilenri Achr-r, eon'eiiler d'arrondissement ;une delegation des employés du chemin do fer,ayaot a sa lête M. Gatvallis, inspecteur ; une de¬legation des sapeurs-pompiers ; les erf, mts desécoles conduits par leurs maltres, M. Daügault etM.'ie Lcroy, etc , etc.Les cordons du poóle furer.t suceessivement te-nus par le docteur Fidflin," M. llonri Acher, M.Vattement et les cor.seiHers munleipaux.Selon la volonté du défunt. aucun discours nefut prononcé. mais la multfiude des personnesprésentes et l'émolion pointe sur tous !es visa-ges de cetle foute rccu'rillie ont prouvé combienle disparu jouissait de l'esiime générale el a quelpoint sa perte étaii ununimement déplorée.II avail un droit acquis a la reconnaissance dotous. Eflt! allait a un esprit trés eultivê et dobeaucoup de bonté.G'cst ce qn'a compris Ia municipalitó daCrique-fot l'Esnoval en ofi'rant grscieusement au doc¬teur Aubry une concession dans le cimetièrecommunal.ICn outre, elle so propose d'ouvrir une sous-crjpiion pour l'éfection d'un tombeau.Chocun aura a cceur de psver ainsi sa dcite dereeonnsisssnce et de Conlrihuer, selou sesmoyens. a perpéluer le souvenir u'une si nobleet Irop courte vie.

Sainf-Jouin-sur-Mer1Alms de eonfiancs — Le 13 mai dernier, un in-eoat u s'ést presenté éhfz Mme Crochemore. cul-tivairice it Sainl-Jnuin, et a demarrfé a fe truerdeux vo teres pour ia somme de 130 frai.es en di-sani qu'it paic-rait le lendemain li aentevé ie.-; vé-iieules.La cuitivalrica i'atiend eecore.

FrobervlileDécoration serbe. — M. Florimond Caron, soldatsu <j«icgibiéiu de zouaves, fits de M. Caron, ean-tonnier a Frobervibe, a rr qu le 2 mai, sur lefront, une décoration sei be, la médaille de labravoure, en argent, porlant l'efflgie du ro Pi rre,décoraiioa qui figure psrmi diverses nut res ac-Cordées par Ie pricce régent do Serbie pour ré-comp(nser des officiers et soldats francais. Le ti-iulaire de cette médaille que porte un ruban rou¬ge, en iriangle, de la mème couleur que la Légiond nonneur, a fait touio la campagne et comptedeux blessures, en Belgique et a Verdun Troisautms sofdals de son régiment ont obtenu la mê-me distinction.

BiBLIOGRAPHIELa ÏSenaïsssaxsccï lïeige. — Revueécónomique, commerciale et industrielle.tLa Renaissance Beige, revue économique, commer¬ciële et industrielle, est consacrée a l'étude de larecottsiilution de la Belgigue aussilót qu'ellesera délivrée do l'oppression des envahisseurs.Editée au Havre siège actnol du gouvernementbeige, eiie est t'organe olïiciel de la Chambre decommerce beige du Havre cl d'autrcs associationsprofessiounelles beiges qui se sonl reconstituéesa t'élrang! r. C'est ie sen! org.me beige de cegenre paraissant en cc moment et it est dejtlargr merit répandu psrmi les Beiges qui séjour-nent en ce moment a Fétranger et notainment enFrance, en Anglelerre et cn llollande.Dans l'esprit de ses fondateurs. la UmoissanceBeige est destinée a eontiiiuer a parsitre après laguerro, de manière a ce que les Beiges eu cemoment prisonniers nient dós leur liberation, aleur disposition un o gane a mème de les ren-seigner sur les questions qui les intéreSsent.

TIRAGES FIWAS^CIERS«AU t O Jixillot XicXV

Crédit Fonoier de Frnnne

Obligations foncières S 0/0 1903Le numéro 340,727 est remboursé par IJO.OGO

rem'joursé par 30,000

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franes.Le nuniéro 424.318 estfrancs.Les S numéros suivants sonteun par S 000 Ir. ;424.508 ! 129.597 1 208.065417.600 I -450.230 I 402.272

Les 130 numéroS suivantscbueiin par 1,000 franc.2 776 103.885 236.444 32901310.318 106.470 237522 333.79612.119 116306 2399.13 340,9.912.092 116397 240.733 314.16915529 118.496 241.773 340.05016.139 121.771 246.462 353.3:616.554 125.077 252.722 36719321.299 127.876 253.976 37342524.868 130.878 253.996 37029732 260 133.209 256.059 3/6.81033.933 li1.57 258.503 39.'.68031.150 100.168 259.447 396.98348.484 172.8b8- 260.000 39783450.486 179.906 268.084 399.35357.191 181.204 272.703 «01.2076-,700 180371 273922 405.79867.751 180.726 277.806 413.73071.109 198.308 291.667 415.88680'384 206.7-37 292.884 428.94281 829 220.987 294.203 43030080501 223.009 297.311 438.33891.003 226.067 390.153 445.96292.7-15 229.605 311.292 452.885100.940 231.247 314.266 '45.595402124 232.002 323077 458.834103.935 234.372.320.080 4.4.737

362.688483.387

sont remboursés

4C6.713467 SS8468.704476.03848 i 868484.161487 .65 i493.011493.951Sl'3.483328.717630.431530 69 I331.333537.167317.861319 .953553.984365.093567.814871.4 88; 7 075377. 8 iO582.337887.433392.377

En outre, 423au pair.

obligations sont remboursables

BOURSE DE PARIS

fi Jeir.i.ET üilï

MARCHE DES CHANGESLondfes S7 13 »/» a 27 18 »!»Danemark i «5 » » a 1 09 » ■»Espsene 6 63 »/» a 6 69 », »Hoilainüe 2 35 i 2 a 2 39 1/2Italië 78 1/2 a 80 1/2New-York S 67 1/2 a 8 72 1 2Norvè-ie i6s»»a 4 72 »»Portugal 3 52 1 2 a 3 72 1. 2Petrog rstffe 1 33 1/2 a 1 4o 1 2Suêdt I 76 ) , 2 a 1 86 1 2>usae m »,» a 125 a»Canada S 71 1/2 a 5 76 1 2

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I)u 12 juilht. — Rsymonde AUROURG, rne Mi-eh' let, 26 ; lean LUCAS, ruo d'lrg.-uville, 21 ;Arthur LAüNAY, rue Ferrer, 57 ; Germdine LE-MA1TRE, rue Flore. 28; Denise THIERRY ,l«ju-melie), ruo Malbeibe, 7 ; Yves SE11AN. rue duG and-Croissant. 72 ; Madeleine STHAG1ER, rueErsDóóis-Arage, 123.

DÉCÉSDn 12-juiilet. — Henri-tie VIEL, épouse MALË.TRAS, 28 ans, sans p-ofes'iion, cours de la Répu-blique, 87 ; Lécpold MARTIN. 43 ans, garpon bou-ch"r, a Graville : Eugéne DURAND, 48 ans, ouvrierde faGrique a Uolbee ; THIERRY, mort-né imascu-lic), « jumeau, rue Maiherbe , 7 ; Léon TUJERRY,59 ans, journalier, cité Uesmarais, 32; Léon DES-LANDES, 63 ans, lamaneur, rue Saint-Julien, 31-Roger GilEMlNADE, 1 mois 1/2, rue de Constan¬tino, 1 : Aiphonse LEF ElkVRE, 38 ans, journalier,rue Ernile Rcnouf,-5 - ; Maurice LE MOINE 33 sns,jonrn lier. rue Voltaire, 47, Léontiue QUERTflR,veuveLAFOND, 73 ans, '-ans profession, rue Ber-nardin-de-Saint -Fieffe, 26.

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Les AVIS de 2ECES sont tarifês J f?. ia iigne

M»" Vcuoe J -L TERRY;m.J. L TERRY, m ■ '"'hal deslogi«,au frontAi. et Al"- L.-A T RRY. et feurs Enfants ;Alc" VettceC LAYAU \ld"'- YeuoelYOAlERHEIM; .M Raout POTIER ;Al. et M» Albert TERRY;LesF miiies POTiER, T/fUlLLIER, H. L00SVELDT,FRERARD, M/LCERT et les Amis,Ont la douleur de vous faire part de la per-Ie cruelle qu'iis viennent d'éprouver en lapersonnc da

Monsieur Juies-Louis TERNYCourtier Assermenlé

d.éeêdé le t2 juiilet 19)7, a 1 henre l/i du ma-tin, dsns sa 66e année, muni des Sacrementsde l'Egliso.El vous prient de bien vou'olr nssister as s convoi, sprvice et ii birmation, qui aurontlteu le samrdi 14 couran'. a neut h uiresdumatin, en l'église Sainte-Adresse, sa p-iroisse.On serénnira au domicile moiluaire, 9, rueFrancois- Paumelle, Sainte-Adresse.II ne sera pas envoyé da lettres a'invi-tatioa, ie présent avis eii tenint lieu

1482»)

Vous êt"s prió d'assi-.tervice et inhumation de

aux convoi, ser-

MademeVeuve LAFONDnóe Léontine-Arinande QUERTIKR■lécédêe le 12 juiilet , a 11 heures, a i'fige de78 sus,Qui auront lieu a I'égüse Saint-Joseph, saparoisse, le d manehe 18 juiilet, a seize heu-iös et dernie.De la part de :IR"" Ve/re CHAILLOT, nèe QUERTIER ; IR. etAf"' Castaoe LAPORO el leurs Enfants . Af. et Ai™-Ernest HEBERT et leu s En'anïs. Ad.et At" LouisLAFORUét Leur Fiile ; M et Al™'Joseph LAFORD;At ' Fernanda LAFORD ; IR. et M - Raoul FOUCRERet leur Fills; .4?"' Lucie LAFOND; la Familie etles Amis, ses sceur. fiis, fiu.-s, beiles-lilles,«enares, peti tb -enfants, parents et amis.

Al et Edcuaril V/SNEP,OTAl. ei Ai1" Georges LEFORT,ses éiifarHs :Af" - Jeanne. Afarthe, MadeleineVWREROT ;fri. Jean 'LEFORT, ses pelits-enfanls ;La Familie et les Amis,

née YIGNER0T,

el Denise

Le 13 Juiilet. a <5 heures. bsssin BeBot, han¬gar X, MM. H. MALLON et C« feront vendre publt-quemenl pour compte de qui il appartiendra parle ministère de etifnne dlreaL, courtier:

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PèrierVente de Réeollss et Objets diversLe Lundi 16 Juiilet 1917, a une beure etdemie. a OeteviHe-sur Mer. bamean du Moulin, surla ferme q e eesse d'exploiter Mme veuve Hsté,M« Jules Pavilion, gr» ffier suppléant M« Leuzel,m Dilisö. vendra :1 hectare 18 aresde blé et avoine;58 ares de pommes de terre ;29 ares de cavotfes.Ciisses a pomine- de terre, fflts, coupe-racines,vanneresse, cinsinière, lit fer t personne, usten-siles de laiterie et autres objets.Requête de Mme veuve Ilaté. (4238)

avisdiversPour tous renseignements eoncernantles Annonce., .-'adresser au bureau. 113,boulevard de Strasbourg. - Télép. fiO-4 9

ii ie \\m ajusteup, 41, rne Planta¬genet, a Aoeers, deniande

pcrniutaut, pour Angers (Maine-et-Loiie .(4587z)

LADAUIRIlLlILqui a demandé. aes doubles etaebele e.-. Umcs Gilette mardi, rue de Paris, estpnée de n nvoyer sans se faire conn.Stre l'objelqu'elle a dü trouver en trop.

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Madsme Veuve VIGNEROTNée Clara CAYORET

M'rc oeuoe Henri LAURENT ;Veuce Marcel TAfOURNEL, née LAURENT,

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PAR

IIENRI GERMAIN—*v/W\r»-— -

DEUXIÈME PART IE

! carsrnbal c'est vrai, moo lieute-He com ms une Andalcus !

passerbeaux yens faisaientia marcliandise ; on pjyait ses

— A!nact, \v« AUiSi si sbtou souventbo ir;res.r< Sans eüe, Lambert n'aurait pas tait sesall bres ; il trompait trop sur la aua litó. »C tte petite raécbanceté commérciale lan-cée d'un air bon enfant, le déb>ant conti-nua ;— Prenez done mes cigares da Hivane,men lieuteoaut, ceux-ia sont vrai in ent bons ;ce n'est pis la beaute de la marchande quevous paitrez ici.— C'est bien, reparlit Maurice, agacé parce pertill .ge, j'en preud3 une boi'.e, veoillezme Fenvolopper.K', tout en payanf, il ajonta, pour corri-ger un peu son attitude casssnte :— Je vt us retceicie beaucoup de vos ren¬seignements, Monsieur. Soyez tranquille, ieles garde pour moi seul.— J'en suis sir, nion lieutenant. Amontour, merci, et a pne autre Ibis i'espère" ien ajoir.vptre pratique.

Maurice piriit, dé^espöré.I y a dis minute's oit'ia douieur engeadrela tblie ; i'arjéantiss. ment de soi 'appar.italors comme Punique soiuiion é des souf-frances intoierables.Sans but, d'uu pas machinal, le malheu-reux officier se dirigea vers le port laissantvaguer sort regard désespêré sur i'immensitébleue do ia Méditerranée.— La-bas, sur ia rade, sfationnaient lespuissants croiseurs de i'escadre.Ah ! s'il avail pri s'emb irquer snr l'un deces navires et s'enfnir ioin.très ioin de cetteA'gériè mandite oü ie malheur venait del'atteindre si crne!lera?nt.Tout a coup, son attention füt brusque-ment ramerée a la réai'té des choses paries appels strideots d'une sirène, par iemouvement inusité da port.Jl icgarda, presque roalgré lui.Ua grand paquebot entrait majestuetise-ment au has >in de débarqueraent.Sur ses ilancs cvoluaient déja les innom-bra bies barques des commissionnairesma Iters, arabes ou nègres.Tons ces portefaix so'licitaient a grandscris, en des idiomes plus bzarres les unsquo ies aulres, ies passagers prêts A dé-barquer. rDeja, p'nsienrs canots accostaient, dépo-saot leurs clients sur ie quai.Maurice regardait toiijours distraite-ment les scènes pittoresques qui se renou-vefietit a chuqoe arrivée de paquebot.Soudain il se retourna dans un sursautde surprise.Une voix connue, è la fois autoritaireet empreinte de bieuveillance, l'interpel-iait :— Eh bien 1 Dutertre, que faites-vousdone la •?Le sous-lieutenant demenra pendant nne-minote médusé, en se trouvant face a faceavecle colonelDestrem,vêtaencivil.

Puis, redressé subüernent par 1'habitndepuissante de la discipline, il porta la maina son képi.— Ah j mon colonel, fit-il, pardonnez-moi, je ne vous voyais pas.— Parbieu, je m'ea doute. Moi, je vousavais aperpa depuis un moment.« Vons êtes done a Alger, maintenant.— O ii, raoncoioiiel ; pour jusqu'a ce soirseulcment. Et, pourtant, il eut été préféra-bie que je n'y vinsse pas.—- Potirqubi ?— J'y ai appris des choees désoiantes ;si vous saviez, mon coionei, je suis déses-péré I— En elïet, vous paraissez bien triste,mon panvre ami.— Pius que jo ne puis dire.« Muis, pardon de vous retenir ainsi, jeme retire.— Vous êtes pressé?— Oh! certes non, mon colonel; je n'aiplus rien ü faire ni rien a atteudre ici.— Alions, allons, vous n'è.e-i pas dansvotre état normal, mo i pauvre Dutertre ; ilvous est arrivé quelque chose ?— Hélas ! des choses tres graves, d'aifreu-se3 noavelles.— P-jtivez-vous me lesconfier ?— Gertaiaement, moa colonel ; A voussartout. Mais a qnoi bon vons ennuyer avecdes sentimentalités ridicules t— Elles font ia vie, mon ami, en dépit detoutes les fausses ihéories des soi-disantsceptiques.« Et qui sait. continua Destrem d'un airmystérieux et Un, j'aurai peut-être des con¬solations è vous t (frir, un bon conseil èvons donner. »Ea disant cela, ie colonel pensait au baronDutertre, ie père dn sons-lieutenant, mira-culeusement retrouvé a Monte-Cario, et ence moment a Paris en compagnie de sa fiilenaturelle, la Eanvette da Faubourg.

— Alions. aclieV a-t-il, venez déjeuner avecmoi, je meurs de i'aim, nous causerons atable.Un quart d'heure pins tard, les deux officiers s'attabla ent sur une terrassa ré er-véa da l'un aes mtilleurs resiaurantsd'Aiger.— C'est singulier, fit Destrem en appre-nant l'étrange diapacjiiot» d'Andrée puiscetie de Lambert, tous les détails de cettehi-toire rev-êtent des aliures de mystère unpeu louche.« II serait fort intéressant, j'en suis cer¬tain, de pouvoir se livrer ë nue enquêteapprofondie au sujet de ce soi disant Lam¬bert.« Je suis déctdé ft na point perdre de vue ceLambert qui semble trés désireux de c-chersa vie etproba'olement sa veritable person-naiité.« Ja suis décidé a ne point perdre de vuecette aflaire. Je regrette infiniment surtootl'absence de sa pupille ; cette jeune iillem'aurait peut-être renseigné de trés utilefacoü. »— Oni, peut-ê're, acquiesca Maurice, sansconviction pourtant. -II se souvenait das réticences d'Andrée,au sujet de sa véntable familie, de son nomtnême.»— Malheurensement, continua Destrempensif, je ne puis m'occtrper de cola main¬tenant ; des intéréts pins graves, plus hauts,vont soliiciler toute mon atteniioa.« Mais j'y reviendrai. D'aiiieurs, il me ss-rait possible, au besoin, et en attendantd'avoir plus de loisirs, de charger certairtepersonne de ma connaissance de se livrera queiques recherches préliminaires et dis-crètes.« Elle a denombreuses relalions ft Aiger,elle dispose d'influsnces sérieuses.— Oh 1 je vous remercie, mon coione.' ditvirement Maurice d'un ton pénétré.

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« C'était Ift, sans doute, les consolationsdönt vous me parlirz tout ft i'heure ?— Non, non, ce n'ess nas ("«la ; i! s'agitd'nue chose toute d ff»rpnte. • ' d'u< e im or-lance morale plus directe, plus prache poorvous.— Plus proche?« Hor mis l'amour d'Andrée, rien ne pentm'in éresser directeraent. Je n'ai plus de fa-niirie. vons le savez.— En êtes-vons bien sur ?— Oh 1 ooi, men coionei, trop sur. hélas I— Si pourtant j'avais retrouvé Tun desvótres 1— L'un des miens T. . . Qui done... je nevois pas vra meot ?. ..Et ie sous-lieutenant, dont I'étonnementet la perplexité croissaiant, s'inu-rrompitpour foutlier sa mémoire tronblée par lacoofenr.— Un seul, reprit-il bientót, oui, i! y enaurait un, peut-être, desurvivant. . . Mais oüest-ii ft présent?...— De qui voulez vons parler T— De mon père.— Eh bien, c'est lui-même.— Lui... mon père, retrouvé par vöns,mon colonel ; mais oü, dans quelle condi¬tion ?En oosant cette qnestion, la voix do jenneofficer tremblait d'émotion et de craintetout a la foi's.— Ma foi, reprit* Destrem, sa situationn'était pas brillante, je dois t'avoaer ; néan-moins, bien qu'elle füt des plus aléafoires,ei ie n'avait rien de deshonorant.Maurice respira Ionguemcnt, soulagé.— Que faisait-il, mon colooei ?— Ii vivait du jeu, ft Monte-Cario, oü ilétait fixé depnis une dizaine d'années.— Dn jeu!... Et vons Ini avez parlé ?— J'ai fait mieux ; ja l'ai arraché 4 cetenfer, pour ie rendre a une existence plussüre et plas digne de Iui.

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— Oil I mon colonel, s'écria Manrice en selevant, ti èe ému, vous étes <a bonté même.« Comment vous remercier assez? com¬ment reconoaitre jamais ua tel bieafail ?...— Tout simplement en suivant mes con-seils, c'est-a-dire en gagnant au plas tótvotre deaxièmega/nn de iientenant.— Comment cera ?— Je vous en fonrnirai les moyens.« Mhs revenons a vetre uè •.# Lorsqi.e je l'ai retron . je n'étais passeul, j 'etuis accompagaé d'i.ut personne quioj'esi trés ehère.« Je ne puis ni ne venx la aommer quantft présent.« Getto personne — vons Ia connaitread'aiiieurs dans queiques mois — s'interes-sait be-ncoup, elle aussi, ft la triste situa¬tion du baron Dutertre.« Elle est liée ft lui par plusieurs causesanci- nnes des plus importautes, et n'auraitpa le revoir sans oser Ini venir en aide.— Mile de Mirecöart, s'écria Maurice,croyant avoir deviné l'incegnito voiontaire-ment réservé par Destrem.— Non, mon ami, non, Mile de Mireceurtn'est pas en France.— Ators, je ne vois pas.— Ne cherchez pas davantage, je vous eaprie, vous ne poarriez pas trouver.« Des rai80as pariiculières, trés person¬nels, m'obiigent ft taire le nem de cettepersonne.« Sachez senlement qu'elle a emmenö vo¬tre père ft Paris, en lui laisant promettre dene point la quitter. II sera trés heurenx ensa compagnie et pourra même lui être fortntile en certains cas. Ceci sufflt ft sauvegar-der sa dignité.« Ensuite, il reviendra ici, avec elle, dane?queiques mois, comme je vous l'ai dit toutfti'toeare.

Suivre V

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connus.C'estd'obordune sensationd'étoufte-ment et de suffocationqui é'reint Ja gorge,des boufféesde chaleurs qui montent auvisagepour faireplacea une sueur froidesurtout le corps.Leventre devientdouloureux,les régiesse renouvellentirrêgulièresou tropabondantes et bientótla femme !a plus ro-buste se trouve affaiblieet exposéeaux piresdangers. C'est alors qu'il faut, saus plu3tarder, faireune cure avec Ia

JOUWEStLMSGÜRYNous ne cesserons de répéter que toute femme qui atteintage do 40 ans, même celle uui n'épronve aucun malaise, doittaire usage de la JOIJVEjXX'Ii l'Alibé SOUJBV a desm tervalles réguliers, si elle vent éviter l'afflux subit du sang aucerveau, Ia congestion, l'attaane d'apoplexie, Ia rupture d'ané-vris me, etc. ffiuelle «'oublie pas que le sang qui n'a plusson cours habitué! se portera de préférence aux parties les plustaibles et y developpera les maladies les plus penibles, TumeursCancers, Neurasthenie. Métrites, Fibromes, etc.. tandis qu'eiiran an t usage de ia JDUVKSC'E de 14b hé SOL'»Y,la femmeevitera toutes les intirmités qui la menacent.V.±1ÜI1C0?> fr,E!CS>dsns toutes !es Pharmacies ; 4. fr. go franco.i1®11,fraPCo gsre, par 3 flacons, contre mandai poste de is francs

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Etude de ii' Pierre LÉPASY,av-.ué demeurant au H vre.buuteoard deStrasbourg, n° lilAssistance ju diciaire. — Decisiondn s'ffza octobre mil neuf centquinze.DIVORCE

D'un jugem nt rendu conlradie oirement p r la premièrecbambre du Tribunal civil du Ha¬vre le vingt-ssx janvier mil neufeen seize, enregistró. expédie et(ran, c it sur les regisires del'élal-civil,Enfre ; Madame Marir-LucieGEiiiVRE, épouse de Mon-ieurKsoul Henri Abrard, avec lequeletle est domicbiée de droit, m aisrésidant de fait au Havre, placeGambeita, n» i8,

D'une part.Et Monsieur Raoul - Henriabkaud, employé de commerce,demeiu aat nu Havre, rue Ernest-R nan, n« 33,

D'autro part,II appert :Que le divorce a été prononcéaux (oils reciproques de ehacund'eux.Four extrait cprhfic conformepar M«Jacquot. suüpléant M"Lé-pany, ayant occupé dans l'ins-tanco pour Madame Ab»ard.Le Havre, le deux juiüet milneuf cent dix-sr-pt.

glgsé ; JACQUOT.

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Adis DlostrsImjifiiMisduJournalLeHavre

LETTRESDEDÉCÈSPOUR TOUS LE8 CULTE8

HAVREj «i-.iirliR pmd LeOami35.r. Fontenella

L'Administrateur-Délégué-GéranLO. RAN/DOLET.

Vu par üous,Mairede la Villadu nWFi, pou la legalisationd" '1 signal ure 0. RANDOLEJ^apposee ct contre